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CALENDRIER
DES PROCHAINES FORMATIONS ORGANISÉES PAR LE GROUPE HARMONIE SANTÉ
(passée, en cours et à venir)
Dimanche, le 18 Septembre:
Cancer: prévention et traitement
avec Dr Richard Béliveau ou son remplaçant si est à l'extérieur du pays,
Marjolaine Mailhot et Dre Dugas NOUVEAUTÉ. VOIR HORAIRE A ÉTÉ
MODIFIÉ (Drummondville)
Dimanche, le 23 Octobre:
Ménopause/ostéoporose/SPM /Migraines
avec Dr André Tchernof, Dr Johanne Blais et Mme Louise Desaulniers,
Dt.P. (Montréal)
Samedi, le 3 décembre:
De la surconsommation aux compulsions
alimentaires
avec VOIR LA FICHE AMÉLIORÉE sur la
présentation de Catherine et ses objectifs. DÉSOLÉ POUR L'ENVOI À L'OPDQ
QUI AVAIT DES ERREURS
Catherine Bourassa, Dt.P. (Montréal)
VOIR LA LISTE DE NOS FORMATIONS PASSÉES, ACTUELLES
ET À VENIR.
Pour vous inscrire:
http://www.harmoniesante.com/formations.html
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Le Centre d'expertise bioalimentaire de Laval est
fier de vous inviter à une conférence traitant de la nouvelle norme
internationale ISO 22 000, le 13 septembre prochain. La
conférencière sera Mme Christine Dupuis gestionnaire de la certification
HACCP au Bureau de la normalisation du Québec.
La norme ISO 22 000 est un nouveau cadre mondial de référence des bonnes
pratiques en matières de sécurité alimentaire.
Consulter la pièce jointe pour plus de détails concernant le contenu de
la conférence et la façon de s'inscrire.
Merci.
France St-Yves Dt.P.
Josée Tardif Dt.P.
CEBA de Laval
Collège Montmorency
(450) 975-6421
ceba@cmontmorency.qc.ca
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Symposium de l’INAF 2005 – 6-7 octobre 2005
« Nutraceutiques et Aliments Fonctionnels : états et connaissances »
Hotel Plaza, Sainte-Foy,
Appel de communications (affiches)
Nous vous invitons à soumettre une affiche dans le cadre du 2e Symposium
de l'INAF sous le thème Nutraceutiques et Aliments Fonctionnels: états
et connaissances qui se tiendra
les 6-7 octobre 2005 à l'Hôtel Plaza (Ste-Foy). Le Symposium est
organisé par l'INAF conjointement avec le CQVB et il sera ouvert aux
industriels et professionnels de la santé. De
plus, nous devrions pouvoir compter sur la participation de
conférenciers invités externes (Canada, Finlande, Allemagne, Belgique,
France). Le programme vous sera transmis
sous peu.
La session d’affiche avec cocktail sera tenue entre 17h et 19h, le 6
octobre dans le cadre du Symposium de l’INAF. Cette activité a pour but
de mettre en valeur la contribution des
étudiants et chercheurs post-doctoraux dirigés par les membres réguliers
et associés de l'INAF. L'affiche peut être en anglais ou en français
mais le résumé devra être en
français.
Les résumés (environ 250 mots, en français) doivent être envoyés à
Raymonde Gagnon (raymonde.gagnon@inaf.ulaval.ca) par fichier attaché en
format Word au plus tard le 2
septembre à 17h.
Nous comptons organiser une compétition volontaire et des prix seront
attribués.Tous les documents nécessaires (fiche d’inscription au
concours, grille d’évaluation) seront
acheminés aux participants.
Bienvenue à tous et notez déjà ces 2 journées à votre agenda !
Le Président du Symposium, Yves Pouliot et
Le Comité organisateur
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Conférence en physico-chimie alimentaire
Gels physiques et complexes formés par association hydrophobe entre
protéines globulaires et polyacrylates amphiphiles
Christophe TRIBET, Physico-Chimie des Polymères et Milieux Dispersés,
CNRS UMR 7615, ESPCI, 10 rue Vauquelin, F-75005 Paris (France)
Quand ? Le mardi 23 août 2005 à 11 h
Où ? Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels, 2440
boul. Hochelaga, Sainte-Foy, Salle Multimédia (local 1702)
Les complexes entre protéines globulaires et polymères interviennent
dans de multiples formulations de produits alimentaires, cosmétiques ou
pharmaceutiques. Dans la plupart
des cas étudiés, la formation de ces complexes procède d’interactions
coulombiennes (complexes polyanions/polycations), et de phénomènes de
répulsions stériques.
L’importance d’associations transitoires entre sites hydrophobes des
partenaires reste mal décrite, et difficile à distinguer d’autres effets
comme ceux relatifs à une perte de
solubilité des chaînes (effet de qualité de solvant). Nous étudions des
systèmes modèles à base de chaînes polyacrylates modifiées hydrophobes
(figure), donnant accès à une
modulation fine de l’hydrophobie et des interactions coulombiennes. En
milieu dilué, nous obtenons la stoechiométrie et les dimensions de leurs
complexes avec des protéines
hydrophobes, notamment albumines et protéines membranaires. En milieu
semi-dilué, la formation de gels physiques ou des transitions de phases
associatives s’interprète en
terme de réticulation transitoire des macromolécules. L’emploi de
groupes latéraux photostimulables nous a récemment permis de confirmer
la réversibilité et la cinétique rapide
des phénomènes mis en jeu à l’échelle moléculaire.
Conférence gratuite, bienvenue à tous et à toutes
www.inaf.ulaval.ca/fr/evenements/detail.asp?Xid=315
___________
Titre de l'activité
Obésité et syndrome métabolique
Date
Le vendredi 2 décembre 2005
Endroit
Hôtel Chéribourg, Magog-Orford
Information:
Centre de formation continue
Faculté de médecine et des sciences de la santé
Université de Sherbrooke
3001, 12e Avenue Nord
Sherbrooke (Québec) J1H 5N4
Téléphone: (819)564-5350
Télécopieur: (819)820-6815
Courriel: cfc@USherbrooke.ca
Informations supplémentaires disponibles - Horaire, bulletin
d'inscription, etc. (à compter du 15 septembre 2005):
http://cfc.med.USherbrooke.ca
Par ailleurs, je regrette de devoir vous aviser que l'emplacement
réservé pour les kiosques lors de cette journée de formation continue
est déjà complet.
Je serai heureuse de répondre à toute demande d'information
supplémentaire et vous remercie de votre collaboration.
Johanne Pinard
Centre de formation continue
Faculté de médecine et des sciences de la santé
Université de Sherbrooke
3001, 12e Avenue Nord
Sherbrooke (Québec) J1H 5N4
Téléphone: (819)564-5350 - poste 4
Télécopieur: (819)820-6815
Courriel: Johanne.Pinard@USherbrooke.ca
Site Web:
http://cfc.med.USherbrooke.ca
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RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL
- RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL - RAPPEL
- RAPPEL - RAPPEL
Bonjour,
La Fondation des gouverneurs en vous invite au séminaire « Les rappels
alimentaires : s’y préparer, c’est gagner! » qui aura lieu le 8
septembre 2005. Cette activité se veut une
suite logique de l'édition de 20 mars 2003.
Pour consulter le programme complet, cliquez sur le lien ci-dessous :
http://fond-gouv.qc.ca/110/08_09_2005.htm
Lieu : Centre de recherche et de développement sur les aliments (CRDA),
3600, boulevard Casavant Ouest, Saint-Hyacinthe.
Date : 8 septembre 2005
Pour de plus amples informations, N’hésitez pas à communiquer avec moi.
Merci de votre intérêt et bonne période estivale!
Eveline Cournoyer
Coordonnatrice des activités
Fondation des gouverneurs
Tél. : (450) 773-1105 p313
Fax : (450) 773-8461
Courriel : cournoyere@agr.gc.ca
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JUICE PLUS
Présente….Une conférence santé avec Dr. François Avoie
François Avoie, docteur en médecine, est nutritionniste dans un cabinet
médical libéral à Bordeaux. Il a été médecin de famille en milieu rural
durant dix ans. Il a présidé
depuis 1994 l’Association pour la Formation des Médecins Libéraux d’Aquitaine,
et il est élu depuis la même année à l’Union Régionale des Médecins
Libéraux d’Aquitaine.
Confronté quotidiennement aux effets néfastes de l’alimentation moderne,
il oriente son activité vers la nutriprévention et la nutrithérapie. Sa
rencontre avec Juice Plus l’a
convaincu de la nécessité de faire connaître le nouveau concept de
diététique qualitative. Il exerce ses activités comme consultant et
comme intervenant dans des conférences
d’information du grand public, et dans des séminaires de formation des
professionnels de santé.
La prévention est dans l’assiette
Il est aujourd'hui parfaitement établi que l'alimentation et l'état
nutritionnel actuels participent de façon essentielle au développement
et à l'expression clinique des maladies qui
sont les plus répandues dans les pays industrialisés: maladies
cardiovasculaires, cancers, surcharge pondérale et obésité, maladies
métaboliques…
De nombreuses études scientifiques mettent en évidence l’importance, en
pathologie, du stress oxydatif et la nécessité de sa prise en charge.
La lutte contre les oxydants est rendue d’autant plus aisée, qu’il
devient possible de doser certains agents oxydants. Mais si les taux
d’antioxydants sériques et les
quantités apportées par l’alimentation, notamment en vitamine A, E ou C
peuvent être évalués, il est surprenant de constater l’existence de
déficits en antioxydants, même chez les
gens bien nourris.
L’explication en serait écologique : les fruits et les légumes consommés
actuellement sont différents, dans leur teneur en antioxydants, de ceux
d’autrefois (culture
intensive, qualité des sols…).
La réponse peut s’envisager en deux éventualités :
-Modifier les recommandations de santé publique en augmentant la
quantité et la diversité des fruits et des légumes à consommer chaque
jour. Difficile à mettre en pratique !
-Recourir systématiquement à des compléments alimentaires.
Ce qui est rassurant, c’est que la prévention des différentes maladies
de civilisation repose sur les mêmes recommandations.
Jeudi le 8 septembre 2005 à 19:30hrs
ENTRÉE GRATUITE AVEC RÉSERVATIONS
Hotel Plaza Quebec
3031 Bloulevard Laurier St Foy P.
Québec, Qc
( Salle Carmen )
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SAMEDI le 10 septembre 2005 à 9:30 À 10 :30hrs
ENTRÉE GRATUITE AVEC RÉSERVATION
Hôtel Équus Resort
714 Chemin Gagnon, L’avenir, Qc
Près de Drummondville
Pour plus d’information et réservation,
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Mardi le 13 septembre 2005 à 19:30hrs
ENTRÉE GRATUITE AVEC RÉSERVATION
HÔPITAL Ste-JUSTINE
3175 chemin Côte Ste-Catherine, étage A bloc 9, Montréal, Qc
Amphithéâtre Justine Lacoste Beaubien
Pour plus d’information et réservation,
Sylvie Blackburn (418) 871-9627 ou 1-888-666-3546 ou (418) 260-2206
sylvie.blackburn@sympatico.ca
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DEMANDE POUR L'ÉMISSION MANGER AVEC HÉLÈNE LAURENDEAU
Nous aimerions parler à des nutritionnistes ou autres
professionnels qui travaillent sur un des sujets qui suit :
- Manger à l’extérieur, surtout axé sur le lunch fait maison
- Manger pour mieux vieillir : diminution du goût, manque d’appétit,
changements physiologiques, etc, comment s’adapter?
- Manger pour déjouer les intolérances alimentaires
- Manger à ses faims : faim physiologique, faim sensorielle, faim
affective, mécanisme de satiété, etc
- Manger pour les enfants de 2 à 10 ans
- Manger pour profiter des cuisines ethniques : les piments forts et les
avantages de la capsicine + avantages santé du gingembre, du curcuma, du
thé, des légumineuses, de l’huile d’olive, etc.
- Manger pour la santé de la planète : manger bio, ce n’est peut-être pas
meilleur pour la santé (???), mais c’est peut-être meilleur pour la
planète.
Voici d’autres sujets, en grande partie validés, à propos desquels nous
aimerions également parler à des gens qui les connaissent particulièrement
:
- Manger pour vaincre le stress et l’insomnie
- Manger pour bien alimenter les nourrissons
- Manger pour le plaisir : le développement du goût, le chocolat, les
effets physiologiques du plaisir de manger, etc
- Manger pour tirer le meilleur de nos aliments : chimie alimentaire,
pertes d’éléments nutritifs et de vitamines selon mode de cuisson, etc
Nous voulons documenter ces sujets et nous assurer d’avoir un contenu
substantiel.
Je vous remercie à l’avance de votre collaboration.
Gilles Parent
Rédacteur en chef
Émission Manger
Productions Pixcom
1720, rue Du Canal
Montréal
Québec H3K 3E6
(514) 931-1188 poste 488
gparent@pixcom.com
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NOUVELLES EN OBÉSITÉ DE LA CHAIRE DE RECHERCHE SUR L'OBÉSITÉ
DE L'UNIVERSITÉ LAVAL PAR DR PAUL BOISVERT
La chaire de recherche en obésité de l'Université Laval vous
présente son bulletin d'information en obésité, la référence des nouvelles
d'actualité en obésité:
La chaire de recherche en obésité de
l'Université Laval vous présente son bulletin d'information en obésité, la
référence des nouvelles d'actualité en obésité:
Editorial
Gros problème par Brigitte Breton
Une nation XXL par Normand provencher
Etiologie-Épidemiologie
Obésité mesurée au Canada
Obésité chez les enfants
La CS des Découvreurs s'apprêtent à bannir la
malbouffe des écoles
Télévision et malbouffe, cocktail prisé par les enfants
Prévention
La facture explose;Un phénomène sociétal qui
aura des conséquences catastrophiques sur les budgets en santé
Le gouvernement du Canada réaffirme son engagement à lutter contre les taux
croissants d'obésité au Canada
Nutrition
Manger plus d’oméga-3, mais combien ?
LAIT ET PERTE DE POIDS : LA POLÉMIQUE CONTINUE
Des mets préparés «santé»
Activité Physique
Une heure d'exercice par jour; Pour que les
enfants évitent maladies cardiovasculaires et diabète
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Nouvelles en bref
Statistiques : La consommation de fruits et de légumes frais en
hausse au Canada entre 1996 et 2003
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Site internet suggéré:
http://www.bienchoisir.ca/
Conseil pratique: LES FRUITS ET LÉGUMES À BON PRIX
Congrès
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EDITORIAL: Gros problème
Le Soleil Éditorial, samedi 9 juillet
2005, p. A30 Breton, Brigitte
Nous ne devons pas prendre à la légère l'image que nous renvoie Statistique
Canada. Les Canadiens, jeunes et vieux, font de plus en plus d'embonpoint et
d'obésité. À moins de vouloir à tout
prix ressembler aux Américains et accepter de consacrer une plus grande part
de notre budget aux soins de santé, il faut vite redoubler nos efforts pour
contrecarrer ce fléau qui affecte les pays industrialisés.
La dernière enquête de Statistique Canada sur la santé des collectivités
canadiennes a de quoi nous remuer. Mesurées cette fois-ci et non
autodéclarées, les données sur le poids des adultes, des adolescents et des
enfants canadiens nous font en effet réaliser que le problème d'embonpoint
et d'obésité est bien plus grave que
nous le pensions.
En 1978-1979, 3 % des enfants de 2 à 17 ans étaient obèses. En 2004, ce taux
a grimpé à 8 %. Chez les adultes, on retrouvait en 1978-1979 14 % d'obèses.
Vingt-cinq ans plus tard, 23 % des adultes traînent une surcharge pondérale.
Nous ne pouvons ranger tous les pèse-personnes et faire comme si ce nouveau
portrait n'avait aucune importance. Les conséquences de l'inertie sont trop
lourdes. L'embonpoint et l'obésité sont
sources de nombreux troubles de santé. Risque de diabète de type 2, maladie
cardiovasculaire, hypertension, arthrose, certaines formes de cancer et de
maladie de la vésicule biliaire sont attribuables à l'excès de poids. Le
surpoids entraîne également des problèmes psychosociaux, une mauvaise estime
de soi, des limitations fonctionnelles et des incapacités.
Si nous ne faisons rien, la demande pour les soins de santé, que nous
trouvons déjà difficile à supporter, sera encore plus considérable. Mais à
qui appartient-il d'annoncer le début d'un régime de vie plus sain ?
S'attaquer à l'embonpoint et à l'obésité
est à la fois une responsabilité individuelle et collective. Il appartient
bien sûr à chacun de nous de prendre et d'inculquer à nos enfants de bonnes
habitudes alimentaires et de vie. C'est à nous de choisir ce que l'on met
dans notre assiette. C'est à nous de préparer pour nos petits écoliers des
repas sains et équilibrés plutôt que de remplir les boîtes à lunch de
plats surgelés, de boissons sucrées et de biscuits bourrés de gras trans.
C'est à nous aussi de choisir si l'on se contente de dépenser nos calories
en écoutant la télé ou en roulant à vélo. Comme parents, il nous revient
également d'inciter nos jeunes à décrocher du téléviseur, de l'ordinateur et
des jeux vidéo.
L'école, les gouvernements, par l'intermédiaire de campagnes de
sensibilisation, de prévention, par une meilleure aide aux démunis et par
des règles dictées à l'industrie alimentaire et publicitaire, peuvent
également avoir une bonne influence sur ce que les citoyens consomment et
sur ce qu'ils font pour se maintenir en forme ou pour la retrouver.
De plus en plus, tant à Ottawa qu'à Québec, les élus sont conscients des
problèmes et des coûts qu'engendre le surplus de poids chez les enfants et
les adultes. Le gouvernement canadien a décidé de s'attaquer aux gras trans.
Il faut bien sûr être patient pour permettre à l'industrie de s'adapter,
mais au moins, la commande est passée.
Au Québec, le gouvernement a sorti Vasy pour inciter la population à bouger.
Il a aussi décidé d'accroître le temps accordé à l'éducation physique à
l'école. Il songe également à établir une politique alimentaire en milieu
scolaire. Des effets bénéfiques pourraient sûrement aussi être réalisés en
contrôlant un peu plus les publicités auxquelles sont exposés les jeunes. À
force de voir à répétition des annonces de beignes, de coca-cola et de
pizza, un enfant n'est pas porté à réclamer du brocoli, une omelette et un
jus de fruit pour son souper.
Nous avons sous-estimé la prévalence de l'obésité
et de l'embonpoint au Canada. Nous connaissons pourtant les ingrédients pour
maintenir et retrouver un poids santé. Il faut individuellement et
collectivement se mettre à la tâche.
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Editorial: Une nation XXL
Le Soleil Actualités, samedi 9 juillet
2005, p. A7 Provencher, Normand
...Se bouger un peu le popotin rapporte beaucoup à celui ou celle qui s'en
donne la peine. Même si ce n'est pas toujours facile de sortir le vélo ou
d'aller au gym, le retour sur l'investissement est considérable.
On l'a fait pour le port de la ceinture de sécurité, pour l'alcool au
volant et, plus récemment, pour la cigarette. Il va falloir le faire - et
vite - pour la malbouffe et la sédentarité. Je parle d'une campagne
de prévention majeure, pas une campagne gna gna avec un bonhomme bleu
androgyne, mais une campagne, une vraie, avec de la grosse argent sonnant,
des vedettes à offrir en modèles et tout, pour en arriver à enrayer
l'épidémie d'obésité qui frappe le pays.
Six millions de Canadiens obèses. C'était la manchette du SOLEIL de jeudi.
Six millions, le quart de la population adulte, trop gras. Ce n'est plus une
blague. Avant, on pouvait se consoler en se disant que les Américains
étaient pires que nous, mais c'est de moins en moins le cas. Encore quelques
années et les pantalons XXL vont proliférer d'un océan à l'autre. Si vous
croyez que les dépenses en santé sont trop élevées, vous n'avez encore rien
vu.
...Or voilà, d'un côté, tout dans la société incite à bouger le moins
possible. Les gens vont s'installer de plus en plus loin en banlieue et
restent de plus en plus longtemps dans leur auto. On veut stationner le plus
près possible de l'endroit où l'on va, pour avoir à marcher le moins
possible. Les escaliers roulants sont partout, même Lise Dion éprouve des
remords lorsqu'elle en prend un. Dans les écoles, les cours d'éducation
physique sont réduits à leur plus simple expression, quand ce n'est pas la
récréation à l'extérieur qui est carrément abolie.
D'un autre côté, la nourriture est partout, disponible dans des
quantités phénoménales. La fin de semaine dernière, le hasard et une fête à
organiser m'a conduit au Club Price. La carte de membre du beau-frère m'a
permis de pénétrer dans ce temple de la boustifaille, en poussant un panier
aussi imposant qu'un Hummer.Jamais vu autant de bouffe de ma vie. Pas moyen
d'acheter une boîte de céréales ou un litre de jus d'orange, il faut prendre
le format jumbo. Pas moyen d'acheter un steak, il faut prendre le
boeuf au complet. À trop vouloir économiser, c'est le tour de taille qui en
prend un coup.
Comment faire pour ne pas succomber, je vous le demande. La frénésie
- et sans doute un réflexe du cerveau reptilien qui pousse à faire des
réserves en cas de famine - incite tout le monde à remplir son panier à ras
bord. Fou, complètement fou. Après cela, on s'étonnera de voir de plus en
plus de monde incapable de rentrer dans leur culotte.
Il va falloir bouger - et vite - avant de devenir une nation XXL...
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Prévalence: Obésité mesurée au Canada
6 juillet Fait saillants:
http://www.statcan.ca/Daily/Francais/050706/q050706a.htm
Rapport 1 :
L'obésité chez les adultes au Canada: Poids et grandeur mesurés
Rapport 2:
L’embonpoint chez les enfants et les adolescents au Canada
En 1978-1979, 3 % des enfants de 2 à 17 ans étaient obèses. En 2004, ce taux
se chiffrait à 8 %, soit environ 500 000 enfants. Chez les adultes, la
croissance de l'obésité a été encore plus frappante. En 1978-1979, le taux
d'obésité normalisé par âge était de 14 %. Un quart de siècle plus tard, 5,5
millions de personnes, soit 23 % des adultes étaient obèses.
Parmi les jeunes, l'accroissement le plus important du taux d'obésité au
cours des 25 dernières années était celui des adolescents de 12 à 17 ans,
lequel a triplé pour passer de 3 % à 9 %. Parmi les adultes, les
augmentations les plus frappantes ont eu lieu chez les personnes de 25 à 34
ans et chez celles de 75 ans et plus, là où les taux ont plus que doublé,
s'étant établis à 21 % et à 24 %, respectivement.
En 2004, le taux combiné d'embonpoint et d'obésité chez les jeunes de 2 à 17
ans à Terre-Neuve-et-Labrador, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse et
au Manitoba était significativement supérieur au taux observé à l'échelle
nationale. Par contre, le taux combiné au Québec et en Alberta était
significativement inférieur au taux national.La prévalence de l'obésité
était nettement supérieure à la moyenne nationale à Terre-Neuve-et-Labrador
et au Nouveau-Brunswick.
Selon les données de l'ESCC, les enfants et les adolescents qui ont déclaré
consommer des fruits et des légumes au moins cinq fois par jour étaient
considérablement moins susceptibles de faire de l'embonpoint ou d'être
obèses que ceux qui en consommaient moins fréquemment. Environ quatre
enfants et adolescents sur dix (41 %) ont déclaré qu'ils mangeaient des
fruits et des légumes au moins cinq fois par jour.
L'enquête indique aussi que, chez les enfants de 6 à 17 ans, la probabilité
de faire de l'embonpoint ou d'être obèse a tendance à augmenter en fonction
du nombre d'heures passées à regarder la télévision, à jouer à des jeux
vidéos ou à utiliser un ordinateur.
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PREVENTION: La facture
explose;Un phénomène sociétal qui aura des conséquences catastrophiques sur
les budgets en santé Le Soleil 7 juillet A3 Ricard-Châtelain,
Baptiste
Le gras envahit nos corps. La facture pour la collectivité explose. Il y a
une solution : revoir de fond en comble notre mode de vie ! Rien de moins.
Statistique Canada confirmait, hier, que nous sommes de plus en plus gras.
"C'est une lame de fond. C'est un phénomène sociétal majeur, commente la
nutritionniste Lyne Mongeau, conseillère scientifique à l'Institut
national de santé publique du Québec.
"Ça va avoir des conséquences absolument catastrophiques sur les budgets
des ministères de la Santé", convient-elle. Et les autorités sanitaires
détiennent un des ingrédients du remède pour freiner l'obésité.
Mais ce n'est pas "la Santé" qui prépare la nourriture pour les enfants,
qui décide des modes de transport à adopter ou des plans de développement
des banlieues, qui favorise la conciliation travail-famille, qui éduque, qui
sert des portions géantes dans les restaurants... Tous sont donc partie de
la solution, selon elle.
"Il faut que ça devienne un grand mouvement social, prône-t-elle. On
a tout un défi à relever !" Depuis que les femmes ont investi le marché du
travail, nous n'avons pas trouvé d'équilibre. Notre quête serait là. "C'est
sûr qu'il faut manifester une certaine patience, car c'est une grosse
machine à mettre en marche", admet Mme Mongeau. Mais si tous mettent un peu
de pression, l'engrenage roulera, espère-t-elle.
"Face à l'urgence de la situation, il faut que ça devienne une priorité pour
vrai", insiste le coordonnateur de la formation de la Chaire de recherche
sur l'obésité de l'Université Laval,
Paul Boisvert. Les jeunes doivent particulièrement être ciblés,
ajoute-t-il.
Le statut socio-économique des parents influence le taux de graisse des
petits, souligne M. Boisvert. Tout comme le discours tenu en classe.
"Il faut agir sur l'éducation des jeunes et il faut commencer tôt
avant qu'ils aient pris des mauvaises habitudes. À partir de 10 ans, on a
perdu le contrôle. Au secondaire, c'est affreux les habitudes de
consommation des jeunes. (...) Ils ne savent plus cuisiner."
Au moins, le Québec a une longueur d'avance, croit le directeur adjoint de
l'Institut de la nutrition, du métabolisme et du diabète du Canada, Paul
Bélanger. Les équipes de recherche des universités (dont celle de Québec)
sont réputées, dit-il. Des chercheurs qui pourront influer sur les
politiques.
Hier, Québec et Ottawa affirmaient à l'unisson que le dossier est
prioritaire pour les gouvernements. Des campagnes de sensibilisation
sont en cours (Vasy, Kino-Québec, Cinq fruits et légumes par jour...).
L'Agence de santé publique du Canada répète toutefois que la
transition nécessitera plus d'efforts et sera longue. "On parle vraiment
du mode de vie des gens, constate le directeur général du Centre de la
promotion de la santé, Claude Rocan. Mais je pense vraiment que c'est
possible." Selon lui, le changement s'imposera. "L'obésité,
ça coûte très, très cher." La prévention serait moins dispendieuse
pour l'État.
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PREVENTION: Le gouvernement du Canada réaffirme son
engagement à lutter contre les taux croissants d'obésité au Canada
http://www.hc-sc.gc.ca/francais/media/communiques/2005/2005_74.html
6 juillet OTTAWA - En réponse aux dernières statistiques
publiées par Statistique Canada sur le nombre de Canadiens qui font de
l'embonpoint ou qui sont obèses, le ministre de la Santé, l'honorable Ujjal
Dosanjh, et la ministre d'État à la Santé publique, l'honorable Carolyn
Bennett, ont reconnu la nécessité de prendre des mesures afin de traiter
de l'importante menace à la santé publique que constitue l'obésité au
Canada.
« L'obésité est un problème très grave et complexe qui doit être abordé
dans un esprit de collaboration, a affirmé le ministre Dosanjh. Nous nous
sommes engagés à prendre des mesures rigoureuses dans le cadre d'une
Stratégie intégrée sur les modes de vie sains et les maladies chroniques.
Les données viennent confirmer que les taux d'obésité au Canada ont
presque doublé chez les adultes et presque triplé chez les enfants au cours
des 25 dernières années. Des graves risques pour la santé sont associés à
l'embonpoint et à l'obésité, y compris l'hypertension, le diabète et les
maladies du coeur.
« Pour favoriser un poids santé, il faudra pouvoir compter sur une
collaboration intersectorielle et intergouvernementale, a précisé la
ministre Bennett. Il faut traiter des facteurs sociaux, économiques,
physiques et environnementaux pour créer des milieux qui appuieront les
Canadiens et leur permettront de faire des choix sains. »
Le gouvernement du Canada continuera de travailler de près avec les
provinces et les territoires, les organisations non gouvernementales et
d'autres intervenants afin d'aider à mieux saisir les complexités de
l'obésité et de trouver des solutions qui permettent aux Canadiens de
choisir des régimes plus sains et d'inclure plus d'activités physiques dans
leurs modes de vie.
Le budget de 2005 prévoit la somme de 300 millions de dollars sur
cinq ans pour favoriser les modes de vie sains et prévenir les maladies
chroniques comme le diabète, le cancer et les maladies cardio-vasculaires.
La Stratégie intégrée est axée sur la promotion de la santé et la prévention
des maladies par une saine alimentation et l'activité physique. Elle influe
sur les conditions qui engendrent de mauvaises habitudes alimentaires,
l'inactivité physique et un poids malsain. La Stratégie s'adresse à tous les
Canadiens, qu'ils soient en santé, à risque élevé ou atteints de maladies
chroniques.
Santé Canada et l'Agence de santé publique du Canada continuent
d'élaborer des politiques et des programmes nationaux qui favorisent de
saines habitudes alimentaires, l'activité physique et le poids santé,
dont les suivants :
- Le Guide alimentaire canadien pour manger sainement,
le Guide d'activité physique canadien pour une vie saine, et
une combinaison de ceux-ci, le Guide canadien de la saine alimentation
et de l'activité physique. Ces documents ont été créés pour aider les
Canadiens à être physiquement actifs et à faire des choix alimentaires
sains. Le Guide alimentaire canadien pour manger sainement, qui
doit être diffusé au début de 2006, est présentement en cours de révision.
- Le nouveau règlement sur l'étiquetage nutritionnel des aliments
et le programme d'éducation connexe offrent une importante occasion sur le
plan de la santé publique d'améliorer la santé nutritionnelle et le
bien-être des Canadiens. Afin de pouvoir faire des choix éclairés, il est
essentiel que l'information sur la nutrition soit plus facile à lire et
apposée sur un plus grand nombre d'aliments. Le nouveau tableau de la
valeur nutritive permet aux Canadiens de comparer les produits plus
aisément, d'évaluer la valeur énergétique et nutritionnelle d'un plus
grand nombre d'aliments et de mieux gérer les diètes spéciales.
- En 1999, afin de lutter contre le diabète, le gouvernement du Canada a
lancé la Stratégie canadienne sur le diabète (SCD) grâce à un
investissement initial de 115 millions de dollars sur cinq ans. Afin de
continuer à relever les défis de cette épidémie, les volets non
autochtones de la SCD ont été renouvelés et leur budget porté à 18
millions de dollars par année dans le cadre de la Stratégie intégrée sur
les modes de vie sains et les maladies chroniques annoncée dans le budget
de 2005.
- Le volet autochtone, connu sous le nom de l'Initiative sur le
diabète chez les Autochtones, dont le budget sera augmenté de 190 millions
de dollars, fait partie du train de mesures sur la santé des Autochtones
annoncé à la Rencontre spéciale entre les premiers ministres et les
dirigeants autochtones en septembre 2004 et confirmé dans le budget de
2005. Parmi les partenaires de cette initiative nationale, il convient de
mentionner les provinces et les territoires, les divers organismes de
santé nationaux et groupes d'intérêts, ainsi que les collectivités
autochtones de l'ensemble du pays. Les activités en cours sont axées sur
la prévention, la promotion de la santé, la surveillance, ainsi que sur
une plus grande accessibilité des services et de meilleurs soins et
traitements pour tous les peuples autochtones.
De plus amples renseignements sur ces politiques et programmes nationaux
sont disponibles dans les portails suivants :
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ENFANTS: Les Découvreurs s'apprêtent à bannir la
malbouffe des écoles
Le Soleil La Une, jeudi 7 juillet 2005, p.
A1 Ballivy, Violaine
Coca-Cola ne possède plus l'exclusivité du contenu des distributrices dans
les écoles secondaires de la commission scolaire des Découvreurs depuis le
30 juin. La CS a décidé de ne pas renouveler l'entente - lucrative mais fort
controversée - signée il y a six ans pour entreprendre à la rentrée un
important virage santé.
La CS s'est dotée, tout juste avant les vacances d'été, d'une première
politique de promotion de la santé qui encadrera toutes les décisions
futures des commissaires scolaires. Ils se sont ainsi engagés à faire des
écoles "un milieu de vie où la communauté devrait pouvoir se retrouver dans
un but commun de développer de saines habitudes de vie".
À l'automne, histoire que ces beaux principes ne soient pas oubliés, un plan
d'action sera adopté pour mettre en oeuvre leur application et la CS reverra
de fond en comble les produits alimentaires offerts à ses élèves et ses
employés. Les balises n'en sont pas encore clairement définies, mais les
croustilles, boissons gazeuses, tablettes de chocolat, poutines et autres
synonymes de malbouffe pourraient être
bannis des établissements scolaires. "Il faudra faire preuve de cohérence
avec notre nouvelle politique et revoir l'offre dans nos machines
distributrices", confirmait hier en entrevue le président de la CS des
Découvreurs, Claude Gélinas.
Coca-Cola, prévenue d'éventuels changements depuis quelques mois déjà, a
accueilli la nouvelle avec calme. "Pour nous, c'est business as usual.
Un contrat se termine, on soumissionne à nouveau, et on continue", a indiqué
la porte-parole provinciale Christina Smith.
Mais tout porte à croire que, si elle veut retrouver son contrat, la
multinationale devra faire d'importantes concessions. Elle devra
nécessairement modifier son offre de 1999 et pourrait être forcée de
remplacer son produit vedette, sucré et pétillant, par des bouteilles de jus
de fruits et d'eau, pour faire taire ses nombreux détracteurs qui l'ont
écorchée sévèrement lors de la consultation publique de ce printemps. "Le
choix du fournisseur doit être conséquent avec la politique afin de ne pas
envoyer de message contradictoire aux élèves. Il va sans dire que les élèves
de Rochebelle ne favorisent pas la candidature de Coca-Cola", peut-on lire
dans le mémoire déposé par le président du conseil étudiant. Un professeur
demande encore davantage : "Mon souhait le plus cher est que le politique (
...) ne s'exprime pas dans le simple fait de ne pas signer d'entente avec
Coca-Cola. Elle devra aussi se traduire par des actions concrètes en ce qui
concerne la pratique régulière d'activités physiques".
Recettes de 400 000 $
En six ans, l'entente d'exclusivité avec Coca-Cola a permis à la CS
d'amasser 400 000 $, utilisés pour financer des projets pédagogiques
(voyages, bibliothèques, cours d'anglais, activités parascolaires) qui
n'auraient probablement pas pu se réaliser autrement, dit Claude Gélinas.
Ainsi, même si l'opération a été un peu moins rentable que prévu (en plus
des redevances annuelles de 50 000 $, la CS recevait un léger pourcentage
des ventes de bouteilles, de 40 % inférieures aux prévisions), Claude
Gélinas n'écarte pas la signature d'une nouvelle entente du genre avec un
nouveau partenaire. D'autant plus que la fin du monopole de Coca-Cola
n'implique d'aucune façon la disparition des machines distributrices de
toutes sortes dans les écoles.
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ENFANTS: Télévision et malbouffe, cocktail prisé par
les enfants
Le mercredi 25 mai 2005 D'un soleil à l'autre Radio de Radio-Canada
http://www.radio-canada.ca/radio/emissions/document.asp?docnumero=9629&numero=32
Hélène Raymond s’entretient avec Marie Marquis, professeure au
Département de nutrition de l’Université de Montréal.
Une étude fait un triste portrait des comportements alimentaires des
enfants. Moins souvent en famille, ils ont plutôt tendance à dîner seuls et
devant le téléviseur. En fait, un garçon sur quatre et 18 % des filles de 10
ans au Québec prennent au moins un repas par jour devant le petit écran.
Salé, sucré et gras
Cette habitude en entraîne une autre tout aussi néfaste: plus ils mangent
devant la télé, plus ils mangent salé, sucré et gras. «Les jeunes ne
mangent pas de crudités ni de légumes devant la télé. Ils préfèrent les
croustilles et le chocolat, le tout arrosé de boissons gazeuses», commente
Marie Marquis, qui vient de terminer cette étude menée auprès de 534 élèves
francophones de Montréal. La mauvaise alimentation est plus fréquente
chez les garçons que chez les filles.
Grignoter fréquemment
L’enfant québécois regarde en moyenne 15 heures de télévision par
semaine, ce qui fait qu’il grignote fréquemment plutôt que de manger ses
trois repas par jour. Le plus inquiétant, c’est que le petit écran est
tellement omniprésent dans l’environnement des ménages qu’on ne le perçoit
plus comme une mauvaise habitude.
http://www.radio-canada.ca/radio/emissions/document.asp?docnumero=9629&numero=32
Manger devant la télé
[Écoutez l'extrait audio »] 00:08:49
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NUTRITION: Manger plus d’oméga-3, mais combien ?
http://lesoleil.cyberpresse.ca/journal/2005/07/02/sante/04358_manger_plus_d_omega_3_mais_combien_.php
Jacinthe Côté
Petits et grands, tout le monde est encouragé à consommer plus de gras
polyinsaturés oméga-3. Ces gras jouent un rôle important dans le
développement normal du cerveau et de la rétine des jeunes enfants. Ils sont
également capables de réduire l’inflammation, l’agrégation des plaquettes
(responsable de la formation de caillot) et la contraction excessive des
vaisseaux sanguins (responsable de l’hypertension).
C’est ainsi que leur consommation aiderait à prévenir les maladies
cardiovasculaires, l’hypertriglycéridémie (taux sanguin élevé en
triglycérides) et l’arthrite rhumatoïde. Pour profiter de tous ces
bienfaits, mais aussi parce que notre alimentation est carencée, il vaut la
peine de faire un effort pour consommer plus de gras oméga-3...
Pour en savoir
plus
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NUTRITION:
LAIT ET PERTE DE POIDS : LA
POLÉMIQUE CONTINUE
Réseau Proteus. Qualifiant de
mensongères des publicités vantant les propriétés amaigrissantes du lait et
de ses produits dérivés, un groupe de médecins américains vient de déposer
une injonction pour mettre fin à cette campagne.
Spécialiste de l'obésité au Département de médecine préventive à
l'Université Laval, à Québec, Dr Angelo Tremblay estime
que la « mise en marché de la science » - comme le fait la publicité visée -
peut mener à des situations problématiques.
« Cependant, il n'y a pas lieu de crier au loup : l'efficacité de la
consommation régulière de lait écrémé ou partiellement écrémé sur la perte
de graisses ou la diminution du risque de surpoids est documentée de manière
crédible et rigoureuse », affirme Dr Tremblay. Mais, selon lui,
cette action du lait doit se situer dans un contexte global. « Il est faux
de croire qu'à lui seul, le lait peut faire maigrir », prévient-il.
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NUTRITION: Des mets préparés «santé»
Le mercredi 1 juin 2005 D'un soleil à l'autre Radio de Radio-Canada
http://www.radio-canada.ca/radio/emissions/document.asp?docnumero=9802&numero=32
Hélène Raymond s’entretient avec Angelo Tremblay,
professeur à l’Université Laval et titulaire de la Chaire de recherche du
Canada pour l’activité physique, la nutrition et le bilan énergétique.
Dans le but de lutter contre la restauration rapide, le trop sucré, le trop
gras ou le trop salé, une équipe de chercheurs a cuisiné une vingtaine de
mets préparés. Le but: manger mieux, manger moins sans avoir faim, tout en
perdant du poids.
Des plats qui ont du goût
Pâté chinois aux légumineuses, fusillis au saumon, poulet aux épices ou porc
aux pruneaux. «C’est une stratégie qui vise à réconcilier l’alimentation
santé et l’art culinaire.» Angelo Tremblay reconnaît que les personnes qui
s’alimentent bien ont l’impression de perdre la saveur.
Son équipe a donc cherché la variété et le goût tout en s’assurant que les
coûts restent raisonnables. Les protéines servent de base. On a fait en
sorte que la teneur en fibres alimentaires soit acceptable et qu’il n’y ait
pas trop de calories. On a ajouté certaines épices dont l’effet coupe-faim a
été démontré. C’est le cas du poivre rouge coréen.
L’entrevue audio avec Angelo Tremblay
http://www.radio-canada.ca/radio/emissions/document.asp?docnumero=9802&numero=32
00:05:31
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NUTRITION: Des nutriments importants à surveiller
17 juillet 2005, p. A13 Côté, Jacinthe Le Soleil
http://lesoleil.cyberpresse.ca/journal/2005/07/16/sante/04454_des_nutriments_importants_a_surveiller.php
De récentes enquêtes sur la nutrition
menées auprès de la population canadienne (2001), de l'Ontario (2003) et de
la Colombie-Britannique (2004) révèlent que l'apport alimentaire de
certaines substances minérales et de vitamines est inadéquat pour plusieurs
Canadiens. La cause du problème est bien simple : on ne consomme pas
suffisamment d'aliments riches en calcium, en fer, en zinc, en magnésium,
en acide folique ainsi qu'en vitamines B6, B12, C et D.
Comme le reste de l'Amérique du Nord, plusieurs Canadiens préfèrent
manger des aliments riches en sucre et en gras (barre de chocolat, bonbons,
pâtisseries, muffins, biscuits, chips, boissons gazeuses, etc.).
Ce type d'aliments fournit entre le quart et le tiers des calories
consommées par les Canadiens. Cela se fait aux dépens de la consommation des
produits céréaliers entiers, poisson, légumes, fruits, légumineuses, noix,
graines, produits laitiers, viandes, etc. Pour éviter les carences et
prévenir les problèmes de santé, une attention toute particulière doit donc
être apportée à la consommation de ces aliments.
Les aliments qui font défaut
Selon l'enquête de 2001 sur les habitudes alimentaires des Canadiens
âgés entre 18 et 65 ans, environ 50 % ne consomment pas le nombre minimal
de portions quotidiennes recommandées de fruits et légumes (cinq) et de
produits laitiers (deux à quatre). De plus, environ 30 % des Canadiens
consomment moins de cinq produits céréaliers et moins de deux portions de
viande et substituts.
-Les meilleures sources alimentaires de vitamine D sont les poissons
gras (saumon, maquereau, sardine, anguille), le lait de vache, les boissons
de soja et la margarine enrichis, ainsi que les fromages fermes Minigo et
les yogourts Source enrichis.
-La consommation régulière de foie, de rognons, de porc, d'agneau, de
volaille, de boeuf, de palourdes, de moules, d'huîtres, de légumineuses et
de céréales à déjeuner (Alpen, müesli, Weetabix, All Bran) permet d'avoir un
apport alimentaire adéquat en fer. Les légumineuses (lentilles, pois et
haricots secs), certaines céréales (riz brun, avoine et orge), les graines
et les noix (graines de courge et de sésame, arachides, amandes), les fruits
séchés (pruneaux, raisins, abricots et autres fruits séchés) et les légumes
verts feuillus, bien qu'ils contiennent moins de fer, sont également des
sources intéressantes.
-Le zinc et le magnésium se trouvent surtout dans la viande, les fruits de
mer, la volaille, les oeufs, les graines et les noix, les légumineuses, les
produits céréaliers entiers et les légumes verts.
-Les produits laitiers (lait, yogourt, fromage), les boissons de soja
enrichies, le tofu fait à partir de sulfate de calcium, les sardines en
conserve consommées avec les arêtes et les huîtres sont d'excellentes
sources de calcium.
-On trouve la vitamine C dans les agrumes, le kiwi, la cerise, la goyave, la
papaye, la fraise et le melon. Mais plusieurs légumes en contiennent aussi,
tels que la tomate, le persil, le poivron, le cresson, le fenouil,
l'épinard, le brocoli, le chou-fleur, le chou et les algues.
-Les aliments riches en acide folique sont les noix, les légumineuses, les
oeufs, les légumes verts feuillus, les oranges, les bananes, les
champignons, les abats et les produits céréaliers enrichis en acide folique.
-La volaille, la viande, le poisson, la pomme de terre, la banane, la prune,
le melon d'eau, les épinards, les céréales fortifiées, les algues, la levure
nutritionnelle ou de bière, les noix et les graines sont riches en vitamine
B6 et en thiamine.
Trouver l'équilibre
Le truc pour réussir à incorporer tous ces aliments au menu est de
consommer à tous les repas au moins une portion d'aliments provenant de
trois des quatre groupes alimentaires. Et aux collations, on peut prendre un
fruit ou des crudités et un aliment du groupe alimentaire qui manquait au
repas précédent.
L'atteinte de cet objectif nécessite aussi qu'on limite le plus possible
la consommation d'aliments riches en calories vides : barres de chocolat,
bonbons, pâtisseries, muffins, biscuits, chips, boissons gazeuses, etc. On
les nomme ainsi parce que de la manière dont ils sont préparés, ces aliments
perdent une grande partie de leurs nutriments secondaires (fibres
alimentaires, vitamines, minéraux, antioxydants). Cela concentre les
principaux nutriments (glucides, protéines, matières grasses) qui sont
riches en calories.
Pour en savoir
plus
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ACTIVITE PHYSIQUE: Une heure d'exercice par jour; Pour
que les enfants évitent maladies cardiovasculaires et diabète
La Presse Actuel Santé, dimanche 3 juillet
2005, p. PLUS7 Chevalier, Richard
Les enfants ne bougent pas assez et prennent de plus en plus d'embonpoint.
On connaît maintenant cette rengaine. Mais les experts peuvent maintenant
mettre un chiffre sur la question: les enfants doivent faire au moins une
heure d'exercices vigoureux par jour.
" Il est évident que le niveau d'activité physique chez les enfants a chuté
dramatiquement ces 20 dernières années. Cela est dû, en grande partie, à la
révolution technologique qui offre de plus en plus d'options de loisirs
sédentaires aux enfants (pensons ici à l'attrait des jeux virtuels) alors
que leur consommation calorique est demeurée la même ", explique dans le
Journal of Pediactrics, le Dr Robert M. Malina.
Pour cet éminent spécialiste de la croissance chez l'enfant et coprésident
d'un groupe d'experts qui s'est penché sur la question, le problème est là.
Beaucoup d'enfants ne dépensent plus ces calories excédentaires, ce qui met
en péril leur santé future.
Quel devrait être alors un niveau de dépense calorique adéquat pour rétablir
l'équilibre énergétique? Après avoir passé en revue plus de 850 études sur
l'activité physique chez les enfants, le groupe d'experts fournit cette
réponse: les enfants devraient faire au moins une heure d'activité physique
d'intensité modérée à élevée par jour.
Les 60 minutes peuvent être accumulées tout au long de la journée. Cette
quantité d'exercice est jugée suffisante pour garder les enfants en santé,
assurer une croissance harmonieuse de leur système musculosquelettique et,
par-dessus tout, prévenir cette épidémie annoncée pour la prochaine
génération de maladies cardiovasculaires et de diabète de type 2 (voir
l'encadré).
Des idées pour faire bouger les enfants:
Cela dit, une recommandation d'experts c'est bien beau, encore faut-il
l'appliquer. Inciter les enfants à accomplir au moins une heure d'activités
physiques vigoureuses par jour, ce n'est quand même pas évident. Avec un peu
d'imagination, sachant que les jeunes adorent bouger s'ils y trouvent leur
plaisir, on peut y arriver. Bien entendu, si votre enfant est inscrit à un
camp de jour, un club de soccer, de natation ou de balle-molle pour une
bonne partie de l'été, la recommandation des experts sera sûrement suivie.
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Evidence Based Physical Activity for School-age Youth
June 2005 • Volume 146 • Number 6
abstract
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Physical Activity Recommendations: Where do
we go from here?
Journal of Pediatrics, The June 2005 • Volume 146 • Number 6 William
H. Dietz
FULL TEXT
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Formation Continue
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Site internet suggéré :
http://www.bienchoisir.ca/
Site Web conçu par Pepsi Co pour vous aider, vous et
votre famille, à faire des choix sensés pour équilibrer alimentation et
activité physique. Vous y trouverez de l’information
nutritionnelle utile
et des conseils pour
être plus actif. Chaque produit (Pepsi Co) qui affiche le symbole Bien
choisirMC répond à des critères nutritionnels précis. Ces
critères sont fondés sur des énoncés officiels de la Food and Drug
Administration et de la National Academy of Sciences des États-Unis qui ont
été adaptés pour le Canada.
Critères pour les
boissons
Critères pour les
aliments
Critères pour les
collations
==================================
Conseil du mois: LES FRUITS ET LÉGUMES À BON
PRIX
http://defisante.canoe.com/semaines/objectif5/semaine12.html
Vous trouvez que les fruits et les légumes coûtent cher ?
Détrompez-vous ! En choisissant les produits de saison ou les surgelés, en
profitant des spéciaux hebdomadaires et en évitant de perdre des aliments,
vous pouvez trouver l'équilibre, autant dans votre alimentation que dans
votre budget !
10 ASTUCES POUR ÉCONOMISER À L'ACHAT DE FRUITS ET LÉGUMES
1. Choisissez les fruits et légumes de saison. Par exemple, optez
pour les petits fruits l'été et les agrumes l'hiver
2. Vérifiez les spéciaux dans les circulaires et en magasin
3. Évitez d'acheter vos fruits et légumes au dépanneur ou dans
les machines distributrices, car ils coûtent beaucoup plus cher qu'au
supermarché
4. Profitez de certains produits qui sont toujours économiques
: pommes de terre, carottes, navet, chou, bananes, pommes, etc.
5. Achetez vos fruits à des stades de maturité différents pour éviter
les pertes. Rappelez-vous : ce qui coûte cher, ce n'est pas tant ce qu'on
achète, mais ce qu'on jette !
6. Conservez vos aliments à la bonne température, vérifiez-les
régulièrement et utilisez-les avant de les perdre
7. Quand les prix sont élevés, tournez-vous vers les fruits et
légumes surgelés et en conserve, qui constituent souvent de bonnes
aubaines
8. Utilisez les produits frais en début de semaine et gardez
les produits en conserve ou surgelés pour la fin de la semaine
9. Récupérez ! Utilisez les fruits abîmés dans les salades de
fruits, les muffins ou les pains (aux bananes, par exemple) et les légumes
défraîchis dans les potages, les soupes et les purées
10. Placez vos fruits et légumes à la vue pour ne pas oublier
de les manger !
=====================================================================
Nouveautés
http://www.obesite.chaire.ulaval.ca/nouveautes.html
Pour en savoir davantage sur
l'étiologie, la prévalence, les complications, le traitement et la
prévention de l'obésité, veuillez consulter le site internet de la Chaire de
recherche sur l'obésité
http://www.obesite.chaire.ulaval
.ca
------------------------------------
Congrès à venir
- Du 17 au 20 août 2005 – FAV HEALTH 2005
- Symposium international sur les effets
santé des fruits et légumes
- ******Où et quand?
Hôtel Loews Le Concorde
de Québec, du 17 au 20 août 2005
- ******Programme et information:
www.favhealth2005.org
- -------------------------------------------------------
- Les 18 et 19 août 2005
- Colloque sur les effets santé de la
canneberge
- ******Où et quand?
À l’Hôtel Loews Le Concorde de Québec, les 18 et 19 août 2005
- ******Programme et information:
www.favhealth2005.org/canneberge.aspx
- -------------------------------------------------------
- Les 6 et 7 octobre 2005
- 2e Symposium scientifique de l'INAF
- Cet événement qui présentera les plus récent travaux de
recherche et d'innovation en cours à l'INAF ouvrrira pour la première fois
ses portes aux partenaires et professionnels du milieu.
- ******Où et quand?
À l'Hôtel Plaza de Sainte-Foy, les 6 et 7 octobre 2005
- ******Programme et information:
À venir
- ------------------------------------------------------
- NAASO 2005 Annual Scientific Meeting,
-
Vancouver, British Columbia, October 15- 19, 2005.
- October 15 19, 2005, Vancouver, British Columbia.
- Advance registration deadline: September 19, 2005.
- Visit
www.naaso.org/annualmeeting05
- -----------------------------------------------------------------
- Société Canadienne de Physiologie de l'Exercice :
- Du concept à la pratique :
vers une vie saine au Canada
- Lac Leamy, Gatineau, Quebec, du 9 au 12 novembre 2005.
http://csep.ca/csep2005.asp
- ==========================================================
Vous recevez ce courriel à titre de
service d'information générale en tant que collaborateur de la Chaire de
recherche en obésité. Si vous ne désirez plus recevoir ce type d'information
de notre part, veuillez nous en aviser tout simplement par retour de
courriel.
Paul
Boisvert, Ph.D.
Coordonnateur de l'information et de la formation
Chaire de recherche sur l'obésité
http://obesite.chaire.ulaval.ca/
Pav. Ferdinand-Vandry - local 2205a
Faculté de Médecine
Université Laval
Québec, QC G1K 7P4
Tel.: (418) 656-2131 poste 8571
Fax :(418) 656-7898
http://obesite.chaire.ulaval.ca/cv/boisvertpaul.html (Photo)
mailto:Paul.Boisvert@ap.ulaval.ca
CLUB DE LECTURE SÉLECT EN NUTRITION
AVEC HÉLÈNE BARIBEAU ET FRANCES BOYTES
Depuis quelques années, des informations en nutrition sont publiées chaque jour par le biais de différents médias. Être à jour est devenu un devoir sans fin. Frances Boyte et Hélène Baribeau ont exprimé le désir de former un club de lecture sélect afin de mettre en commun ces nouvelles informations. Ce club sélect s’adresse aux diététistes désireux et désireuses d’échanger des informations pertinentes en nutrition afin de multiplier nos connaissances et aussi partager et élargir nos champs d’expertise respectifs afin d’être à la fine pointe des nouveautés en matières de nutrition et d’alimentation.
Échanger des informations dans un club de lecture c'est en même temps développer notre réseau de contact professionnel, lequel une fois développé peut servir à aller chercher des informations de pointe rapide et se transmettre des contacts qui parfois vont déboucher sur des contrats ou des emplois. Un club de lecture, c'est établir aussi une solidarité professionnelle entre diététistes.
Étant consciente de nos horaires respectifs chargés, nous avons prévu planifier 3 rencontres par année d’une durée de 1 heure 30. Les rencontres se dérouleront dans la salle de conférence d’Aliments de Santé Laurier, à Place Laurier, Ste-Foy.
La deuxième rencontre le 20 septembre 2005 de 7h30 à 9h00.
La troisième rencontre le 1er février 2006 de 7h30 à 9h00.
Voici l’horaire proposé des rencontres :
7h30-7h45 : bienvenue et petit déjeuner
7h45 à 8h05 : première présentation
8h05 à 8h25 : deuxième présentation
8h25 à 8h45 : discussion et questions
8h45 à 9h00 : organisation de la prochaine rencontre
PROCHAINS SUJETS À VENIR :
Pour vous inscrire, veuillez nous contacter par courriel ou par téléphone aux coordonnées suivantes, le plus rapidement possible :
Au plaisir de se rencontrer,
Hélène Baribeau
Tél. 651-3262 ou 653-8636
Courriel : helenebaribeau@sympatico.ca
Frances Boyte
Tél. 261-3286 ou 650-3256
Courriel : Francesboyte@hotmail.com
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Genre : Essai
Parution : 22 septembre 2004
Le livre : L’obésité, bien plus qu’une simple question d’esthétisme ou d’inconfort, est en train de miner la santé de milliards de personnes dans le monde. L’embonpoint est devenu un problème social et économique qui ne cesse de prendre de l’ampleur. Ce petit guide passe en revue les facteurs qui, au fil des dernières décennies, ont favorisé l’embonpoint, notamment la sédentarité, la prise de poids excessive pendant la grossesse et la culture de la restauration rapide. Aujourd’hui, en plus de la génétique, nos choix de vie concernant l’alimentation et l’activité physique contribuent à accroître l’incidence de l’obésité. Ce guide participe également au débat concernant les régimes miracle et propose des solutions santé ayant un effet durable. L’auteur : Jacinthe Côté est titulaire d’un baccalauréat en science de la nutrition et d’une maîtrise en science et technologie agroalimentaire. Elle signe une chronique hebdomadaire sur la nutrition à La Presse.
Relations de presse : Pierrette Gravel Téléphone : (450) 674-2808
pierrette.gravel@videotron.ca
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GUIDE des interactions médicaments, nutriments et produits naturels.
Un livre à se procurer pour votre pratique. Nouvelle version comprend certaines interactions avec les suppléments. Prix: 50$ (tout inclus)
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FESTINS VÉGÉTARIENS
Auteure : Danielle Lamontagne, nutritionniste
format 8½X11, 64 pages illustrées
Le cahier Festins végétariens vous propose :
· 10 étapes vers la qualité totale en alimentation
· 25 suggestions de menus complets · 80 recettes faciles à réaliser, riches en saveur et en fibres dont plusieurs recettes de base · 2 fiches détachables sur la cuisson des légumineuses et des céréales
· 1 mini guide alimentaire végétarien en couleurs pour afficher sur le frigo
· Plusieurs conseils pratiques en nutrition, des trucs pour la cuisine et des moyens pour économiser du temps
Ces outils sont aussi disponibles par la poste. Pour de plus amples renseignements ou pour connaître les prix pour plusieurs exemplaires, téléphoner au (514) 727-9997.
SPÉCIAL POSTAL pour les 3 outils (Festins Végétariens + Supplément végétalien + Guide Végétarien) 25$. Envoyer un chèque à Danielle Lamontagne au casier postal 203, succursale Rosemont, Montréal, H1X 3B7
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GUIDE ALIMENTAIRE VÉGÉTARIEN
Danielle Lamontagne, Dt.P.
format 8½X11, 6 pages
Tout en ne privilégiant aucune approche végétarienne particulière, le Guide alimentaire végétarien s’adresse à ceux et celles qui désirent abandonner ou diminuer leur consommation de viande, peu importe la raison.
Cet outil de 6 pages illustrées en couleur, basé sur des données actuelles en nutrition, indique les quantités requises chaque jour pour les enfants de 4 ans et plus, les adolescents, les adultes, les femmes enceintes et allaitantes. Les exemples de portions dans chacun des cinq groupes alimentaires, décrivent une foule d’aliments des plus connus au plus exotiques, de quoi en surprendre plusieurs.
Ces outils sont aussi disponibles par la poste. Pour de plus amples renseignements ou pour connaître les prix pour plusieurs exemplaires, téléphoner au (514) 727-9997. SPÉCIAL POSTAL pour les 3 outils (Festins Végétariens + Supplément végétalien + Guide Végétarien) 25$. Envoyer un chèque à Danielle Lamontagne au casier postal 203, succursale Rosemont, Montréal, H1X 3B7
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GUIDE SUPPLÉMENT VÉGÉTALIEN 8½X11, 4 pages
Le Supplément végétalien s’adresse aux personnes qui ne peuvent ou qui ne veulent consommer aucun produit d’origine animale, ceci incluant les produits laitiers et les œufs. Cet outil doit se conjuguer avec le Guide alimentaire végétarien pour la charte des portions qui demeure la même. Un choix judicieux d’aliments variés dans chacun des neufs groupes alimentaires proposés par le Supplément végétalien permet de combler les besoins nutritionnels. Ces outils sont aussi disponibles par la poste.
Pour de plus amples renseignements ou pour connaître les prix pour plusieurs exemplaires, téléphoner au (514) 727-9997.
SPÉCIAL POSTAL pour les 3 outils (Festins Végétariens + Supplément végétalien + Guide Végétarien) 25$. Envoyer un chèque à Danielle Lamontagne au casier postal 203, succursale Rosemont, Montréal, H1X 3B7
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NUTRITION VALUE OF FOOD
disponible en Anglais (aussi en français), rd Edition, 2004 M. Brault Dubuc and L. Caron Lahaie -Only Canadian Food Values Table -
From Canadian Nutrient File 2002
-More than 2,000 food items
-Values for energy and 38 nutrients
-Values for 100 grams and portions
-27 different food groups, including babyfoods
Price: $48.00 per volume Volume discount: 20% for University and College bookstores Shipping : $8 per volume or $10 for 2 volumes Québec et Ontario + GST Also available
NOUVELLE ÉDITION:
Valeur Nutritive des Aliments version française, 2003 (disponible aux mêmes conditions) To order you can do on line or write to: Société Brault-Lahaie 24, rue d’Anjou Saint-Lambert, Québec J4S 1K5 Tel.: 450.671.1276 Fax: 450.671.0148
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Livre,
DE LA TÉTÉE À LA CUILLÈRE (Bien nourrir mon enfant de 0 à 1 an)
Linda Benabdesselam, Dt.P et autres
Éditons Hôpital Ste-Justine, Disponible en librairies 14,95$
Allaitement, alimentation de la femme qui allaite, comparaison de préparations lactées pour le nourrisson, introduction des solides, végétarisme chez le nourrisson, allergies alimentaires, coliques, etc.
Ou si vous le désirez, vous pouvez le commander en ligne.
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