RECHERCHE DIÉTÉTISTE
J’ai un poste à offrir à deux
jours semaines dans un CHSLD à Montréal en nutrition clinique (contrat d’un
an avec possibilité de prolongation)
Me faire parvenir vos CV. Merci !
Ginette Charbonneau Dt.P.
Atout_gestion_sante@videotron.ca
(450) 437-3550
___________________________
Remplacement pour une période de huit mois à temps plein au CLSC des
Seigneuries à Varennes en service courant (rencontres de groupe pour
adultes) et en périnatalité. Remplacement débutant fin août 2005 jusqu'en
juin 2006.
Vous pouvez envoyer votre CV le plus rapidement possible à l'adresse
suivante et adresser votre lettre à Josée Trahan, chef de programme.
Carmen Hamelin (secrétaire de direction)
CLSC des Seigneuries
2220 René-Gaultier
Varennes, Québec,
J3X 1T6
ou par fax: 450 652-9902
Pour toutes questions, vous pouvez me contacter au 450 652-2917 poste 364
Alexandra Shano, nutritionniste
___________________
Diététiste
Centre de santé et de services sociaux Les Eskers de l’Abitibi
OFFRE D’EMPLOI
L’ORGANISATION
Le CSSS Les Eskers de l’Abitibi, situé à Amos, en Abitibi-Témiscamingue
est issu du regroupement du CLSC-CHSLD Les Eskers et du Centre hospitalier
Hôtel-Dieu d’Amos. Nous disposons de 94 lits en courte durée et sommes
reconnus comme le centre régional de traumatologie secondaire. Notre centre
d’hébergement bénéficie de 103 lits et notre CLSC dessert une population de
plus de 25 000 habitants. Grâce à la compétence de plus de 900 employés et
d’une équipe médicale de 75 membres, nous offrons des services afin de
maintenir et d’améliorer la santé et le bien-être des enfants, des jeunes,
des adultes ainsi que des personnes âgées par des services de nature
curative, préventive et communautaire.
Nous avons un urgent besoin d’un(e) diététiste, nous vous offrons une
garantie de travail minimale de 10 mois à temps complet avec possibilité de
prolongation. Cette affectation est au centre hospitalier.
NATURE DE LA FONCTION
Personne qui conçoit, évalue et assure le traitement diététique et
l’alimentation rationnelle des bénéficiaires et du personnel de
l’établissement et ce, dans l’un et/ou l’autre des secteurs de
l’établissement. Elle participe à l’enseignement nécessaire à la formation
des personnes en stage à l’établissement.
EXIGENCES
· Doit détenir un diplôme universitaire terminal en diététique ou en
nutrition
.· Être membre ou remplir les critères d’admissibilité de l’Ordre
professionnel des diététistes et nutritionnistes du Québec.
· Capacité de travailler en équipe.
CONDITIONS DE TRAVAIL
Salaire et avantages sociaux seront établis selon les normes du Ministère
de la Santé et des Services Sociaux (entre 34 378 et 63 298 $).
Si vous êtes intéressé(e), faites parvenir votre curriculum vitae avant
le 12 août à 16 heures, en mentionnant le « Concours diététiste » à la
Direction des
ressources humaines, Centre de santé et de services sociaux Les Eskers de
l’Abitibi, 622, 4e Rue Ouest, Amos (Québec) J9T 2S2
(819) 732-3341 ou par fax au
(819) 732-6456.
Nous offrons des chances d’emploi égales à tous.
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Recherche nutritionnistes La promotion de la santé vous intéresse ?
Composé d’une équipe de professionnels du milieu de la santé et des
communications, Le Groupe Pro Santé est une entreprise spécialisée dans la
promotion de la santé
physique et psychologique. Le Groupe Pro Santé offre plusieurs services
comme la mise sur pied de programmes de mieux-être en entreprise, la
réalisation d’activités de
communication, l’organisation d’événements spéciaux, etc.
Nous sommes à la recherche de nutritionnistes intéressées à participer de
façon ponctuelle à différents événements, comme des cliniques de dépistage
des maladies cardiovasculaires.
Ces événements se déroulent dans les grands centres et en régions.
Pour plus d’information, communiquez avec Isabelle Méthot au (418)
681-9900, poste 240 ou au 1 888 660-4585.
Isabelle Méthot, Dt.P.,
nutritionniste
Chargée de projets
Le Groupe Pro Santé inc.
1725, 24è rue
Québec, QC G1J 1N8
(418) 681-9900, poste 240
isabellemethot@prosante.com
www.prosante.com
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Hôpital Sacré coeur de Montréal
Centre de soins généraux, spécialisés et ultra spécialisés,
d’enseignement et de recherche
Situé à Montréal Cherche diététiste dynamique pour :
Un poste syndiqué sur la liste de rappel. Pour remplacements ponctuels, à
temps partiel ou à temps plein, toute l’année.Un projet d’informatisation
des menus incluant une révision de nos processus et l’implantation du
logiciel Winvision de Nutritek est actuellement en cours.
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qui ont peu d’expérience
Un milieu enrichissant et stimulant
Faites parvenir votre curriculum vitae dès que possible à:
Martine Gaudreault dt.p., chef de service de nutrition clinique,
Service de diététique,
Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal,
5400, boul. Gouin Ouest,Montréal,
(Québec) H4J 1C5Tél:
(514) 338-2222 poste 2129, Fax:
(514) 338-3240, Courriel:
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et Lydia Rocheleau.
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(819) 758-7281 poste 2132
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Point de service CLSC-CHSLD de l’Érable
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Droit au Cœur (titre de travail)
Une nouvelle émission à la télévision de Radio-Canada
Pour l’automne 2005, la Société Radio-Canada présente une nouvelle émission intitulée provisoirement Droit au Coeur.
Droit au Cœur est une émission témoignage. Chaque jour, trois personnes viendront en studio pour témoigner d’un problème spécifique dans leur vie. Chacune de ces personnes, à tour de rôle, sera reçue par notre animateur (non-déterminé) et notre psychologue (non-déterminé). Ensemble, ils tenteront de trouver des solutions ou simplement de dire tout
haut ce que vivent tout bas des centaines de personnes en sachant combien le témoignage de vie peut aider autour de soi.
Afin d’en arriver là, l’équipe de Droit au Cœur doit faire une émission-pilote. C’est donc dans cet esprit que nous vous convions à nos studios.
Nous sommes à la recherche de personnes correspondant au profil suivant pour jeudi le 30 juin à 12h30 à l’entrée principale de la Maison de Radio-Canada :
Une femme qui souffre de surplus de poids et qui ne s’aime pas ainsi. Cette femme est souvent à la diète ou s’empêche de faire des activités à cause de son poids.
Son mari, son conjoint ou son chum, lui, est « maigrichon », mais il aime sa femme comme elle est. Il trouve la situation souvent difficile. Il voit sa femme souffrir souvent.
Chacune des personne recevra un cachet de 75,00$.
L’émission-pilote ne sera pas diffusée sur les ondes. Il s’agit d’un test uniquement.
Merci de communiquer avec moi afin d'obtenir plus de détails,
Brigitte Bédard
Recherchiste pour Droit au Coeur
450.926.3059
NOUVELLES EN OBÉSITÉ DE LA CHAIRE DE RECHERCHE SUR L'OBÉSITÉ
DE L'UNIVERSITÉ LAVAL PAR DR PAUL BOISVERT
La chaire de recherche en obésité de l'Université Laval vous
présente son bulletin d'information en obésité, la référence des nouvelles
d'actualité en obésité:
Editorial
Gros problème par Brigitte Breton
Une nation XXL par Normand provencher
Etiologie-Épidemiologie
Obésité mesurée au Canada
Obésité chez les enfants
La CS des Découvreurs s'apprêtent à bannir la malbouffe des écoles
Télévision et malbouffe, cocktail prisé par les enfants
Prévention
La facture explose;Un phénomène sociétal qui aura des conséquences
catastrophiques sur les budgets en santé
Le gouvernement du Canada réaffirme son engagement à lutter contre les taux
croissants d'obésité au Canada
Nutrition
Manger plus d’oméga-3, mais combien ?
LAIT ET PERTE DE POIDS : LA POLÉMIQUE CONTINUE
Des mets préparés «santé»
Activité Physique
Une heure d'exercice par jour; Pour que les enfants évitent maladies
cardiovasculaires et diabète
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Nouvelles en bref
Statistiques : La consommation de fruits et de légumes frais en hausse au
Canada entre 1996 et 2003
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Site internet suggéré: http://www.bienchoisir.ca/
Conseil pratique: LES FRUITS ET LÉGUMES À BON PRIX
Congrès
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EDITORIAL: Gros problème
Le Soleil Éditorial, samedi 9 juillet 2005, p. A30 Breton, Brigitte
Nous ne devons pas prendre à la légère l'image que nous renvoie Statistique
Canada. Les Canadiens, jeunes et vieux, font de plus en plus d'embonpoint et
d'obésité. À moins de vouloir à tout prix ressembler aux Américains et
accepter de consacrer une plus grande part de notre budget aux soins de
santé, il faut vite redoubler nos efforts pour contrecarrer ce fléau qui
affecte les pays industrialisés.
La dernière enquête de Statistique Canada sur la santé des collectivités
canadiennes a de quoi nous remuer. Mesurées cette fois-ci et non
autodéclarées, les données sur le poids des adultes, des adolescents et des
enfants canadiens nous font en effet réaliser que le problème d'embonpoint
et d'obésité est bien plus grave que nous le pensions.
En 1978-1979, 3 % des enfants de 2 à 17 ans étaient obèses. En 2004, ce taux
a grimpé à 8 %. Chez les adultes, on retrouvait en 1978-1979 14 % d'obèses.
Vingt-cinq ans plus tard, 23 % des adultes traînent une surcharge pondérale.
Nous ne pouvons ranger tous les pèse-personnes et faire comme si ce nouveau
portrait n'avait aucune importance. Les conséquences de l'inertie sont trop
lourdes. L'embonpoint et l'obésité sont sources de nombreux troubles de
santé. Risque de diabète de type 2, maladie cardiovasculaire, hypertension,
arthrose, certaines formes de cancer et de maladie de la vésicule biliaire
sont attribuables à l'excès de poids. Le surpoids entraîne également des
problèmes psychosociaux, une mauvaise estime de soi, des limitations
fonctionnelles et des incapacités.
Si nous ne faisons rien, la demande pour les soins de santé, que nous
trouvons déjà difficile à supporter, sera encore plus considérable. Mais à
qui appartient-il d'annoncer le début d'un régime de vie plus sain ?
S'attaquer à l'embonpoint et à l'obésité est à la fois une responsabilité
individuelle et collective. Il appartient bien sûr à chacun de nous de
prendre et d'inculquer à nos enfants de bonnes habitudes alimentaires et de
vie. C'est à nous de choisir ce que l'on met dans notre assiette. C'est à
nous de préparer pour nos petits écoliers des repas sains et équilibrés
plutôt que de remplir les boîtes à lunch de plats surgelés, de boissons
sucrées et de biscuits bourrés de gras trans. C'est à nous aussi de choisir
si l'on se contente de dépenser nos calories en écoutant la télé ou en
roulant à vélo. Comme parents, il nous revient également d'inciter nos
jeunes à décrocher du téléviseur, de l'ordinateur et des jeux vidéo.
L'école, les gouvernements, par l'intermédiaire de campagnes de
sensibilisation, de prévention, par une meilleure aide aux démunis et par
des règles dictées à l'industrie alimentaire et publicitaire, peuvent
également avoir une bonne influence sur ce que les citoyens consomment et
sur ce qu'ils font pour se maintenir en forme ou pour la retrouver.
De plus en plus, tant à Ottawa qu'à Québec, les élus sont conscients des
problèmes et des coûts qu'engendre le surplus de poids chez les enfants et
les adultes. Le gouvernement canadien a décidé de s'attaquer aux gras trans.
Il faut bien sûr être patient pour permettre à l'industrie de s'adapter,
mais au moins, la commande est passée.
Au Québec, le gouvernement a sorti Vasy pour inciter la population à bouger.
Il a aussi décidé d'accroître le temps accordé à l'éducation physique à
l'école. Il songe également à établir une politique alimentaire en milieu
scolaire. Des effets bénéfiques pourraient sûrement aussi être réalisés en
contrôlant un peu plus les publicités auxquelles sont exposés les jeunes. À
force de voir à répétition des annonces de beignes, de coca-cola et de
pizza, un enfant n'est pas porté à réclamer du brocoli, une omelette et un
jus de fruit pour son souper.
Nous avons sous-estimé la prévalence de l'obésité et de l'embonpoint au
Canada. Nous connaissons pourtant les ingrédients pour maintenir et
retrouver un poids santé. Il faut individuellement et collectivement se
mettre à la tâche.
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Editorial: Une nation XXL
Le Soleil Actualités, samedi 9 juillet 2005, p. A7 Provencher, Normand
...Se bouger un peu le popotin rapporte beaucoup à celui ou celle qui s'en
donne la peine. Même si ce n'est pas toujours facile de sortir le vélo ou
d'aller au gym, le retour sur l'investissement est considérable.
On l'a fait pour le port de la ceinture de sécurité, pour l'alcool au volant
et, plus récemment, pour la cigarette. Il va falloir le faire - et vite -
pour la malbouffe et la sédentarité. Je parle d'une campagne de prévention
majeure, pas une campagne gna gna avec un bonhomme bleu androgyne, mais une
campagne, une vraie, avec de la grosse argent sonnant, des vedettes à offrir
en modèles et tout, pour en arriver à enrayer l'épidémie d'obésité qui
frappe le pays.
Six millions de Canadiens obèses. C'était la manchette du SOLEIL de jeudi.
Six millions, le quart de la population adulte, trop gras. Ce n'est plus une
blague. Avant, on pouvait se consoler en se disant que les Américains
étaient pires que nous, mais c'est de moins en moins le cas. Encore quelques
années et les pantalons XXL vont proliférer d'un océan à l'autre. Si vous
croyez que les dépenses en santé sont trop élevées, vous n'avez encore rien
vu.
...Or voilà, d'un côté, tout dans la société incite à bouger le moins
possible. Les gens vont s'installer de plus en plus loin en banlieue et
restent de plus en plus longtemps dans leur auto. On veut stationner le plus
près possible de l'endroit où l'on va, pour avoir à marcher le moins
possible. Les escaliers roulants sont partout, même Lise Dion éprouve des
remords lorsqu'elle en prend un. Dans les écoles, les cours d'éducation
physique sont réduits à leur plus simple expression, quand ce n'est pas la
récréation à l'extérieur qui est carrément abolie.
D'un autre côté, la nourriture est partout, disponible dans des quantités
phénoménales. La fin de semaine dernière, le hasard et une fête à organiser
m'a conduit au Club Price. La carte de membre du beau-frère m'a permis de
pénétrer dans ce temple de la boustifaille, en poussant un panier aussi
imposant qu'un Hummer.Jamais vu autant de bouffe de ma vie. Pas moyen
d'acheter une boîte de céréales ou un litre de jus d'orange, il faut prendre
le format jumbo. Pas moyen d'acheter un steak, il faut prendre le boeuf au
complet. À trop vouloir économiser, c'est le tour de taille qui en prend un
coup.
Comment faire pour ne pas succomber, je vous le demande. La frénésie - et
sans doute un réflexe du cerveau reptilien qui pousse à faire des réserves
en cas de famine - incite tout le monde à remplir son panier à ras bord.
Fou, complètement fou. Après cela, on s'étonnera de voir de plus en plus de
monde incapable de rentrer dans leur culotte.
Il va falloir bouger - et vite - avant de devenir une nation XXL...
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Prévalence: Obésité mesurée au Canada
6 juillet Fait saillants:
http://www.statcan.ca/Daily/Francais/050706/q050706a.htm
Rapport 1 : L'obésité chez les adultes au Canada: Poids et grandeur mesurés
Rapport 2: L’embonpoint chez les enfants et les adolescents au Canada
En 1978-1979, 3 % des enfants de 2 à 17 ans étaient obèses. En 2004, ce taux
se chiffrait à 8 %, soit environ 500 000 enfants. Chez les adultes, la
croissance de l'obésité a été encore plus frappante. En 1978-1979, le taux
d'obésité normalisé par âge était de 14 %. Un quart de siècle plus tard, 5,5
millions de personnes, soit 23 % des adultes étaient obèses.
Parmi les jeunes, l'accroissement le plus important du taux d'obésité au
cours des 25 dernières années était celui des adolescents de 12 à 17 ans,
lequel a triplé pour passer de 3 % à 9 %. Parmi les adultes, les
augmentations les plus frappantes ont eu lieu chez les personnes de 25 à 34
ans et chez celles de 75 ans et plus, là où les taux ont plus que doublé,
s'étant établis à 21 % et à 24 %, respectivement.
En 2004, le taux combiné d'embonpoint et d'obésité chez les jeunes de 2 à 17
ans à Terre-Neuve-et-Labrador, au Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse et
au Manitoba était significativement supérieur au taux observé à l'échelle
nationale. Par contre, le taux combiné au Québec et en Alberta était
significativement inférieur au taux national.La prévalence de l'obésité
était nettement supérieure à la moyenne nationale à Terre-Neuve-et-Labrador
et au Nouveau-Brunswick.
Selon les données de l'ESCC, les enfants et les adolescents qui ont déclaré
consommer des fruits et des légumes au moins cinq fois par jour étaient
considérablement moins susceptibles de faire de l'embonpoint ou d'être
obèses que ceux qui en consommaient moins fréquemment. Environ quatre
enfants et adolescents sur dix (41 %) ont déclaré qu'ils mangeaient des
fruits et des légumes au moins cinq fois par jour.
L'enquête indique aussi que, chez les enfants de 6 à 17 ans, la probabilité
de faire de l'embonpoint ou d'être obèse a tendance à augmenter en fonction
du nombre d'heures passées à regarder la télévision, à jouer à des jeux
vidéos ou à utiliser un ordinateur.
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PREVENTION: La facture explose;Un phénomène sociétal qui aura des
conséquences catastrophiques sur les budgets en santé Le Soleil 7 juillet A3
Ricard-Châtelain, Baptiste
Le gras envahit nos corps. La facture pour la collectivité explose. Il y a
une solution : revoir de fond en comble notre mode de vie ! Rien de moins.
Statistique Canada confirmait, hier, que nous sommes de plus en plus gras.
"C'est une lame de fond. C'est un phénomène sociétal majeur, commente la
nutritionniste Lyne Mongeau, conseillère scientifique à l'Institut national
de santé publique du Québec.
"Ça va avoir des conséquences absolument catastrophiques sur les budgets des
ministères de la Santé", convient-elle. Et les autorités sanitaires
détiennent un des ingrédients du remède pour freiner l'obésité. Mais ce
n'est pas "la Santé" qui prépare la nourriture pour les enfants, qui décide
des modes de transport à adopter ou des plans de développement des
banlieues, qui favorise la conciliation travail-famille, qui éduque, qui
sert des portions géantes dans les restaurants... Tous sont donc partie de
la solution, selon elle.
"Il faut que ça devienne un grand mouvement social, prône-t-elle. On a tout
un défi à relever !" Depuis que les femmes ont investi le marché du travail,
nous n'avons pas trouvé d'équilibre. Notre quête serait là. "C'est sûr qu'il
faut manifester une certaine patience, car c'est une grosse machine à mettre
en marche", admet Mme Mongeau. Mais si tous mettent un peu de pression,
l'engrenage roulera, espère-t-elle.
"Face à l'urgence de la situation, il faut que ça devienne une priorité pour
vrai", insiste le coordonnateur de la formation de la Chaire de recherche
sur l'obésité de l'Université Laval, Paul Boisvert. Les jeunes doivent
particulièrement être ciblés, ajoute-t-il.
Le statut socio-économique des parents influence le taux de graisse des
petits, souligne M. Boisvert. Tout comme le discours tenu en classe.
"Il faut agir sur l'éducation des jeunes et il faut commencer tôt avant
qu'ils aient pris des mauvaises habitudes. À partir de 10 ans, on a perdu le
contrôle. Au secondaire, c'est affreux les habitudes de consommation des
jeunes. (...) Ils ne savent plus cuisiner."
Au moins, le Québec a une longueur d'avance, croit le directeur adjoint de
l'Institut de la nutrition, du métabolisme et du diabète du Canada, Paul
Bélanger. Les équipes de recherche des universités (dont celle de Québec)
sont réputées, dit-il. Des chercheurs qui pourront influer sur les
politiques.
Hier, Québec et Ottawa affirmaient à l'unisson que le dossier est
prioritaire pour les gouvernements. Des campagnes de sensibilisation sont en
cours (Vasy, Kino-Québec, Cinq fruits et légumes par jour...).
L'Agence de santé publique du Canada répète toutefois que la transition
nécessitera plus d'efforts et sera longue. "On parle vraiment du mode de vie
des gens, constate le directeur général du Centre de la promotion de la
santé, Claude Rocan. Mais je pense vraiment que c'est possible." Selon lui,
le changement s'imposera. "L'obésité, ça coûte très, très cher." La
prévention serait moins dispendieuse pour l'État.
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PREVENTION: Le gouvernement du Canada réaffirme son engagement à lutter
contre les taux croissants d'obésité au Canada http://www.hc-sc.gc.ca/francais/media/communiques/2005/2005_74.html
6 juillet OTTAWA - En réponse aux dernières statistiques publiées par
Statistique Canada sur le nombre de Canadiens qui font de l'embonpoint ou
qui sont obèses, le ministre de la Santé, l'honorable Ujjal Dosanjh, et la
ministre d'État à la Santé publique, l'honorable Carolyn Bennett, ont
reconnu la nécessité de prendre des mesures afin de traiter de l'importante
menace à la santé publique que constitue l'obésité au Canada.
« L'obésité est un problème très grave et complexe qui doit être abordé dans
un esprit de collaboration, a affirmé le ministre Dosanjh. Nous nous sommes
engagés à prendre des mesures rigoureuses dans le cadre d'une Stratégie
intégrée sur les modes de vie sains et les maladies chroniques.
Les données viennent confirmer que les taux d'obésité au Canada ont presque
doublé chez les adultes et presque triplé chez les enfants au cours des 25
dernières années. Des graves risques pour la santé sont associés à
l'embonpoint et à l'obésité, y compris l'hypertension, le diabète et les
maladies du coeur.
« Pour favoriser un poids santé, il faudra pouvoir compter sur une
collaboration intersectorielle et intergouvernementale, a précisé la
ministre Bennett. Il faut traiter des facteurs sociaux, économiques,
physiques et environnementaux pour créer des milieux qui appuieront les
Canadiens et leur permettront de faire des choix sains. »
Le gouvernement du Canada continuera de travailler de près avec les
provinces et les territoires, les organisations non gouvernementales et
d'autres intervenants afin d'aider à mieux saisir les complexités de
l'obésité et de trouver des solutions qui permettent aux Canadiens de
choisir des régimes plus sains et d'inclure plus d'activités physiques dans
leurs modes de vie.
Le budget de 2005 prévoit la somme de 300 millions de dollars sur cinq ans
pour favoriser les modes de vie sains et prévenir les maladies chroniques
comme le diabète, le cancer et les maladies cardio-vasculaires. La Stratégie
intégrée est axée sur la promotion de la santé et la prévention des maladies
par une saine alimentation et l'activité physique. Elle influe sur les
conditions qui engendrent de mauvaises habitudes alimentaires, l'inactivité
physique et un poids malsain. La Stratégie s'adresse à tous les Canadiens,
qu'ils soient en santé, à risque élevé ou atteints de maladies chroniques.
Santé Canada et l'Agence de santé publique du Canada continuent d'élaborer
des politiques et des programmes nationaux qui favorisent de saines
habitudes alimentaires, l'activité physique et le poids santé, dont les
suivants :
Le Guide alimentaire canadien pour manger sainement, le Guide d'activité
physique canadien pour une vie saine, et une combinaison de ceux-ci, le
Guide canadien de la saine alimentation et de l'activité physique. Ces
documents ont été créés pour aider les Canadiens à être physiquement actifs
et à faire des choix alimentaires sains. Le Guide alimentaire canadien pour
manger sainement, qui doit être diffusé au début de 2006, est présentement
en cours de révision.
Le nouveau règlement sur l'étiquetage nutritionnel des aliments et le
programme d'éducation connexe offrent une importante occasion sur le plan de
la santé publique d'améliorer la santé nutritionnelle et le bien-être des
Canadiens. Afin de pouvoir faire des choix éclairés, il est essentiel que
l'information sur la nutrition soit plus facile à lire et apposée sur un
plus grand nombre d'aliments. Le nouveau tableau de la valeur nutritive
permet aux Canadiens de comparer les produits plus aisément, d'évaluer la
valeur énergétique et nutritionnelle d'un plus grand nombre d'aliments et de
mieux gérer les diètes spéciales.
En 1999, afin de lutter contre le diabète, le gouvernement du Canada a lancé
la Stratégie canadienne sur le diabète (SCD) grâce à un investissement
initial de 115 millions de dollars sur cinq ans. Afin de continuer à relever
les défis de cette épidémie, les volets non autochtones de la SCD ont été
renouvelés et leur budget porté à 18 millions de dollars par année dans le
cadre de la Stratégie intégrée sur les modes de vie sains et les maladies
chroniques annoncée dans le budget de 2005.
Le volet autochtone, connu sous le nom de l'Initiative sur le diabète chez
les Autochtones, dont le budget sera augmenté de 190 millions de dollars,
fait partie du train de mesures sur la santé des Autochtones annoncé à la
Rencontre spéciale entre les premiers ministres et les dirigeants
autochtones en septembre 2004 et confirmé dans le budget de 2005. Parmi les
partenaires de cette initiative nationale, il convient de mentionner les
provinces et les territoires, les divers organismes de santé nationaux et
groupes d'intérêts, ainsi que les collectivités autochtones de l'ensemble du
pays. Les activités en cours sont axées sur la prévention, la promotion de
la santé, la surveillance, ainsi que sur une plus grande accessibilité des
services et de meilleurs soins et traitements pour tous les peuples
autochtones.
De plus amples renseignements sur ces politiques et programmes nationaux
sont disponibles dans les portails suivants :
Examen du Guide alimentaire canadien pour manger sainement
Guide d'activité physique canadien pour une vie saine
Guide canadien de la saine alimentation et de l'activité physique
Éducation en matière d'étiquetage nutritionnel
Prévention et contrôle des maladies chroniques
Réseau canadien de la santé
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ENFANTS: Les Découvreurs s'apprêtent à bannir la malbouffe des écoles
Le Soleil La Une, jeudi 7 juillet 2005, p. A1 Ballivy, Violaine
Coca-Cola ne possède plus l'exclusivité du contenu des distributrices dans
les écoles secondaires de la commission scolaire des Découvreurs depuis le
30 juin. La CS a décidé de ne pas renouveler l'entente - lucrative mais fort
controversée - signée il y a six ans pour entreprendre à la rentrée un
important virage santé.
La CS s'est dotée, tout juste avant les vacances d'été, d'une première
politique de promotion de la santé qui encadrera toutes les décisions
futures des commissaires scolaires. Ils se sont ainsi engagés à faire des
écoles "un milieu de vie où la communauté devrait pouvoir se retrouver dans
un but commun de développer de saines habitudes de vie".
À l'automne, histoire que ces beaux principes ne soient pas oubliés, un plan
d'action sera adopté pour mettre en oeuvre leur application et la CS reverra
de fond en comble les produits alimentaires offerts à ses élèves et ses
employés. Les balises n'en sont pas encore clairement définies, mais les
croustilles, boissons gazeuses, tablettes de chocolat, poutines et autres
synonymes de malbouffe pourraient être bannis des établissements scolaires.
"Il faudra faire preuve de cohérence avec notre nouvelle politique et revoir
l'offre dans nos machines distributrices", confirmait hier en entrevue le
président de la CS des Découvreurs, Claude Gélinas.
Coca-Cola, prévenue d'éventuels changements depuis quelques mois déjà, a
accueilli la nouvelle avec calme. "Pour nous, c'est business as usual. Un
contrat se termine, on soumissionne à nouveau, et on continue", a indiqué la
porte-parole provinciale Christina Smith.
Mais tout porte à croire que, si elle veut retrouver son contrat, la
multinationale devra faire d'importantes concessions. Elle devra
nécessairement modifier son offre de 1999 et pourrait être forcée de
remplacer son produit vedette, sucré et pétillant, par des bouteilles de jus
de fruits et d'eau, pour faire taire ses nombreux détracteurs qui l'ont
écorchée sévèrement lors de la consultation publique de ce printemps. "Le
choix du fournisseur doit être conséquent avec la politique afin de ne pas
envoyer de message contradictoire aux élèves. Il va sans dire que les élèves
de Rochebelle ne favorisent pas la candidature de Coca-Cola", peut-on lire
dans le mémoire déposé par le président du conseil étudiant. Un professeur
demande encore davantage : "Mon souhait le plus cher est que le politique (
...) ne s'exprime pas dans le simple fait de ne pas signer d'entente avec
Coca-Cola. Elle devra aussi se traduire par des actions concrètes en ce qui
concerne la pratique régulière d'activités physiques".
Recettes de 400 000 $
En six ans, l'entente d'exclusivité avec Coca-Cola a permis à la CS
d'amasser 400 000 $, utilisés pour financer des projets pédagogiques
(voyages, bibliothèques, cours d'anglais, activités parascolaires) qui
n'auraient probablement pas pu se réaliser autrement, dit Claude Gélinas.
Ainsi, même si l'opération a été un peu moins rentable que prévu (en plus
des redevances annuelles de 50 000 $, la CS recevait un léger pourcentage
des ventes de bouteilles, de 40 % inférieures aux prévisions), Claude
Gélinas n'écarte pas la signature d'une nouvelle entente du genre avec un
nouveau partenaire. D'autant plus que la fin du monopole de Coca-Cola
n'implique d'aucune façon la disparition des machines distributrices de
toutes sortes dans les écoles.
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ENFANTS: Télévision et malbouffe, cocktail prisé par les enfants
Le mercredi 25 mai 2005 D'un soleil à l'autre Radio de Radio-Canada
http://www.radio-canada.ca/radio/emissions/document.asp?docnumero=9629&numero=32
Hélène Raymond s’entretient avec Marie Marquis, professeure au Département
de nutrition de l’Université de Montréal.
Une étude fait un triste portrait des comportements alimentaires des
enfants. Moins souvent en famille, ils ont plutôt tendance à dîner seuls et
devant le téléviseur. En fait, un garçon sur quatre et 18 % des filles de 10
ans au Québec prennent au moins un repas par jour devant le petit écran.
Salé, sucré et gras
Cette habitude en entraîne une autre tout aussi néfaste: plus ils mangent
devant la télé, plus ils mangent salé, sucré et gras. «Les jeunes ne mangent
pas de crudités ni de légumes devant la télé. Ils préfèrent les croustilles
et le chocolat, le tout arrosé de boissons gazeuses», commente Marie
Marquis, qui vient de terminer cette étude menée auprès de 534 élèves
francophones de Montréal. La mauvaise alimentation est plus fréquente chez
les garçons que chez les filles.
Grignoter fréquemment
L’enfant québécois regarde en moyenne 15 heures de télévision par semaine,
ce qui fait qu’il grignote fréquemment plutôt que de manger ses trois repas
par jour. Le plus inquiétant, c’est que le petit écran est tellement
omniprésent dans l’environnement des ménages qu’on ne le perçoit plus comme
une mauvaise habitude.
http://www.radio-canada.ca/radio/emissions/document.asp?docnumero=9629&numero=32
Manger devant la télé
[Écoutez l'extrait audio »] 00:08:49
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NUTRITION: Manger plus d’oméga-3, mais combien ?
http://lesoleil.cyberpresse.ca/journal/2005/07/02/sante/04358_manger_plus_d_omega_3_mais_combien_.php
Jacinthe Côté
Petits et grands, tout le monde est encouragé à consommer plus de gras
polyinsaturés oméga-3. Ces gras jouent un rôle important dans le
développement normal du cerveau et de la rétine des jeunes enfants. Ils sont
également capables de réduire l’inflammation, l’agrégation des plaquettes
(responsable de la formation de caillot) et la contraction excessive des
vaisseaux sanguins (responsable de l’hypertension).
C’est ainsi que leur consommation aiderait à prévenir les maladies
cardiovasculaires, l’hypertriglycéridémie (taux sanguin élevé en
triglycérides) et l’arthrite rhumatoïde. Pour profiter de tous ces
bienfaits, mais aussi parce que notre alimentation est carencée, il vaut la
peine de faire un effort pour consommer plus de gras oméga-3...
Pour en savoir plus
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NUTRITION: LAIT ET PERTE DE POIDS : LA POLÉMIQUE CONTINUE
Réseau Proteus. Qualifiant de mensongères des publicités vantant les
propriétés amaigrissantes du lait et de ses produits dérivés, un groupe de
médecins américains vient de déposer une injonction pour mettre fin à cette
campagne.
Spécialiste de l'obésité au Département de médecine préventive à
l'Université Laval, à Québec, Dr Angelo Tremblay estime que la « mise en
marché de la science » - comme le fait la publicité visée - peut mener à des
situations problématiques.
« Cependant, il n'y a pas lieu de crier au loup : l'efficacité de la
consommation régulière de lait écrémé ou partiellement écrémé sur la perte
de graisses ou la diminution du risque de surpoids est documentée de manière
crédible et rigoureuse », affirme Dr Tremblay. Mais, selon lui, cette action
du lait doit se situer dans un contexte global. « Il est faux de croire qu'à
lui seul, le lait peut faire maigrir », prévient-il.
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NUTRITION: Des mets préparés «santé»
Le mercredi 1 juin 2005 D'un soleil à l'autre Radio de Radio-Canada
http://www.radio-canada.ca/radio/emissions/document.asp?docnumero=9802&numero=32
Hélène Raymond s’entretient avec Angelo Tremblay, professeur à l’Université
Laval et titulaire de la Chaire de recherche du Canada pour l’activité
physique, la nutrition et le bilan énergétique.
Dans le but de lutter contre la restauration rapide, le trop sucré, le trop
gras ou le trop salé, une équipe de chercheurs a cuisiné une vingtaine de
mets préparés. Le but: manger mieux, manger moins sans avoir faim, tout en
perdant du poids.
Des plats qui ont du goût
Pâté chinois aux légumineuses, fusillis au saumon, poulet aux épices ou porc
aux pruneaux. «C’est une stratégie qui vise à réconcilier l’alimentation
santé et l’art culinaire.» Angelo Tremblay reconnaît que les personnes qui
s’alimentent bien ont l’impression de perdre la saveur.
Son équipe a donc cherché la variété et le goût tout en s’assurant que les
coûts restent raisonnables. Les protéines servent de base. On a fait en
sorte que la teneur en fibres alimentaires soit acceptable et qu’il n’y ait
pas trop de calories. On a ajouté certaines épices dont l’effet coupe-faim a
été démontré. C’est le cas du poivre rouge coréen.
L’entrevue audio avec Angelo Tremblay
http://www.radio-canada.ca/radio/emissions/document.asp?docnumero=9802&numero=32
00:05:31
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NUTRITION: Des nutriments importants à surveiller
17 juillet 2005, p. A13 Côté, Jacinthe Le Soleil
http://lesoleil.cyberpresse.ca/journal/2005/07/16/sante/04454_des_nutriments_importants_a_surveiller.php
De récentes enquêtes sur la nutrition menées auprès de la population
canadienne (2001), de l'Ontario (2003) et de la Colombie-Britannique (2004)
révèlent que l'apport alimentaire de certaines substances minérales et de
vitamines est inadéquat pour plusieurs Canadiens. La cause du problème est
bien simple : on ne consomme pas suffisamment d'aliments riches en calcium,
en fer, en zinc, en magnésium, en acide folique ainsi qu'en vitamines B6,
B12, C et D.
Comme le reste de l'Amérique du Nord, plusieurs Canadiens préfèrent manger
des aliments riches en sucre et en gras (barre de chocolat, bonbons,
pâtisseries, muffins, biscuits, chips, boissons gazeuses, etc.).
Ce type d'aliments fournit entre le quart et le tiers des calories
consommées par les Canadiens. Cela se fait aux dépens de la consommation des
produits céréaliers entiers, poisson, légumes, fruits, légumineuses, noix,
graines, produits laitiers, viandes, etc. Pour éviter les carences et
prévenir les problèmes de santé, une attention toute particulière doit donc
être apportée à la consommation de ces aliments.
Les aliments qui font défaut
Selon l'enquête de 2001 sur les habitudes alimentaires des Canadiens âgés
entre 18 et 65 ans, environ 50 % ne consomment pas le nombre minimal de
portions quotidiennes recommandées de fruits et légumes (cinq) et de
produits laitiers (deux à quatre). De plus, environ 30 % des Canadiens
consomment moins de cinq produits céréaliers et moins de deux portions de
viande et substituts.
-Les meilleures sources alimentaires de vitamine D sont les poissons gras
(saumon, maquereau, sardine, anguille), le lait de vache, les boissons de
soja et la margarine enrichis, ainsi que les fromages fermes Minigo et les
yogourts Source enrichis.
-La consommation régulière de foie, de rognons, de porc, d'agneau, de
volaille, de boeuf, de palourdes, de moules, d'huîtres, de légumineuses et
de céréales à déjeuner (Alpen, müesli, Weetabix, All Bran) permet d'avoir un
apport alimentaire adéquat en fer. Les légumineuses (lentilles, pois et
haricots secs), certaines céréales (riz brun, avoine et orge), les graines
et les noix (graines de courge et de sésame, arachides, amandes), les fruits
séchés (pruneaux, raisins, abricots et autres fruits séchés) et les légumes
verts feuillus, bien qu'ils contiennent moins de fer, sont également des
sources intéressantes.
-Le zinc et le magnésium se trouvent surtout dans la viande, les fruits de
mer, la volaille, les oeufs, les graines et les noix, les légumineuses, les
produits céréaliers entiers et les légumes verts.
-Les produits laitiers (lait, yogourt, fromage), les boissons de soja
enrichies, le tofu fait à partir de sulfate de calcium, les sardines en
conserve consommées avec les arêtes et les huîtres sont d'excellentes
sources de calcium.
-On trouve la vitamine C dans les agrumes, le kiwi, la cerise, la goyave, la
papaye, la fraise et le melon. Mais plusieurs légumes en contiennent aussi,
tels que la tomate, le persil, le poivron, le cresson, le fenouil,
l'épinard, le brocoli, le chou-fleur, le chou et les algues.
-Les aliments riches en acide folique sont les noix, les légumineuses, les
oeufs, les légumes verts feuillus, les oranges, les bananes, les
champignons, les abats et les produits céréaliers enrichis en acide folique.
-La volaille, la viande, le poisson, la pomme de terre, la banane, la prune,
le melon d'eau, les épinards, les céréales fortifiées, les algues, la levure
nutritionnelle ou de bière, les noix et les graines sont riches en vitamine
B6 et en thiamine.
Trouver l'équilibre
Le truc pour réussir à incorporer tous ces aliments au menu est de consommer
à tous les repas au moins une portion d'aliments provenant de trois des
quatre groupes alimentaires. Et aux collations, on peut prendre un fruit ou
des crudités et un aliment du groupe alimentaire qui manquait au repas
précédent.
L'atteinte de cet objectif nécessite aussi qu'on limite le plus possible la
consommation d'aliments riches en calories vides : barres de chocolat,
bonbons, pâtisseries, muffins, biscuits, chips, boissons gazeuses, etc. On
les nomme ainsi parce que de la manière dont ils sont préparés, ces aliments
perdent une grande partie de leurs nutriments secondaires (fibres
alimentaires, vitamines, minéraux, antioxydants). Cela concentre les
principaux nutriments (glucides, protéines, matières grasses) qui sont
riches en calories.
Pour en savoir plus
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ACTIVITE PHYSIQUE: Une heure d'exercice par jour; Pour que les enfants
évitent maladies cardiovasculaires et diabète
La Presse Actuel Santé, dimanche 3 juillet 2005, p. PLUS7 Chevalier, Richard
Les enfants ne bougent pas assez et prennent de plus en plus d'embonpoint.
On connaît maintenant cette rengaine. Mais les experts peuvent maintenant
mettre un chiffre sur la question: les enfants doivent faire au moins une
heure d'exercices vigoureux par jour.
" Il est évident que le niveau d'activité physique chez les enfants a chuté
dramatiquement ces 20 dernières années. Cela est dû, en grande partie, à la
révolution technologique qui offre de plus en plus d'options de loisirs
sédentaires aux enfants (pensons ici à l'attrait des jeux virtuels) alors
que leur consommation calorique est demeurée la même ", explique dans le
Journal of Pediactrics, le Dr Robert M. Malina.
Pour cet éminent spécialiste de la croissance chez l'enfant et coprésident
d'un groupe d'experts qui s'est penché sur la question, le problème est là.
Beaucoup d'enfants ne dépensent plus ces calories excédentaires, ce qui met
en péril leur santé future.
Quel devrait être alors un niveau de dépense calorique adéquat pour rétablir
l'équilibre énergétique? Après avoir passé en revue plus de 850 études sur
l'activité physique chez les enfants, le groupe d'experts fournit cette
réponse: les enfants devraient faire au moins une heure d'activité physique
d'intensité modérée à élevée par jour.
Les 60 minutes peuvent être accumulées tout au long de la journée. Cette
quantité d'exercice est jugée suffisante pour garder les enfants en santé,
assurer une croissance harmonieuse de leur système musculosquelettique et,
par-dessus tout, prévenir cette épidémie annoncée pour la prochaine
génération de maladies cardiovasculaires et de diabète de type 2 (voir
l'encadré).
Des idées pour faire bouger les enfants:
Cela dit, une recommandation d'experts c'est bien beau, encore faut-il
l'appliquer. Inciter les enfants à accomplir au moins une heure d'activités
physiques vigoureuses par jour, ce n'est quand même pas évident. Avec un peu
d'imagination, sachant que les jeunes adorent bouger s'ils y trouvent leur
plaisir, on peut y arriver. Bien entendu, si votre enfant est inscrit à un
camp de jour, un club de soccer, de natation ou de balle-molle pour une
bonne partie de l'été, la recommandation des experts sera sûrement suivie.
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Evidence Based Physical Activity for School-age Youth
June 2005 • Volume 146 • Number 6 abstract
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Physical Activity Recommendations: Where do we go from here?
Journal of Pediatrics, The June 2005 • Volume 146 • Number 6 William H.
Dietz FULL TEXT
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Formation Continue
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Site internet suggéré :
http://www.bienchoisir.ca/
Site Web conçu par Pepsi Co pour vous aider, vous et votre famille, à faire
des choix sensés pour équilibrer alimentation et activité physique. Vous y
trouverez de l’information nutritionnelle utile et des conseils pour être
plus actif. Chaque produit (Pepsi Co) qui affiche le symbole Bien choisirMC
répond à des critères nutritionnels précis. Ces critères sont fondés sur des
énoncés officiels de la Food and Drug Administration et de la National
Academy of Sciences des États-Unis qui ont été adaptés pour le Canada.
Critères pour les boissons
Critères pour les aliments
Critères pour les collations
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Conseil du mois: LES FRUITS ET LÉGUMES À BON PRIX
http://defisante.canoe.com/semaines/objectif5/semaine12.html
Vous trouvez que les fruits et les légumes coûtent cher ? Détrompez-vous !
En choisissant les produits de saison ou les surgelés, en profitant des
spéciaux hebdomadaires et en évitant de perdre des aliments, vous pouvez
trouver l'équilibre, autant dans votre alimentation que dans votre budget !
10 ASTUCES POUR ÉCONOMISER À L'ACHAT DE FRUITS ET LÉGUMES
1. Choisissez les fruits et légumes de saison. Par exemple, optez pour les
petits fruits l'été et les agrumes l'hiver
2. Vérifiez les spéciaux dans les circulaires et en magasin
3. Évitez d'acheter vos fruits et légumes au dépanneur ou dans les machines
distributrices, car ils coûtent beaucoup plus cher qu'au supermarché
4. Profitez de certains produits qui sont toujours économiques : pommes de
terre, carottes, navet, chou, bananes, pommes, etc.
5. Achetez vos fruits à des stades de maturité différents pour éviter les
pertes. Rappelez-vous : ce qui coûte cher, ce n'est pas tant ce qu'on
achète, mais ce qu'on jette !
6. Conservez vos aliments à la bonne température, vérifiez-les régulièrement
et utilisez-les avant de les perdre
7. Quand les prix sont élevés, tournez-vous vers les fruits et légumes
surgelés et en conserve, qui constituent souvent de bonnes aubaines
8. Utilisez les produits frais en début de semaine et gardez les produits en
conserve ou surgelés pour la fin de la semaine
9. Récupérez ! Utilisez les fruits abîmés dans les salades de fruits, les
muffins ou les pains (aux bananes, par exemple) et les légumes défraîchis
dans les potages, les soupes et les purées
10. Placez vos fruits et légumes à la vue pour ne pas oublier de les manger
!
=====================================================================
Nouveautés
http://www.obesite.chaire.ulaval.ca/nouveautes.html
Pour en savoir davantage sur l'étiologie, la prévalence, les complications,
le traitement et la prévention de l'obésité, veuillez consulter le site
internet de la Chaire de recherche sur l'obésité
http://www.obesite.chaire.ulaval.ca
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Congrès à venir
Du 17 au 20 août 2005 – FAV HEALTH 2005
Symposium international sur les effets santé des fruits et légumes
******Où et quand? Hôtel Loews Le Concorde de Québec, du 17 au 20 août 2005
******Programme et information: www.favhealth2005.org
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Les 18 et 19 août 2005
Colloque sur les effets santé de la canneberge
******Où et quand? À l’Hôtel Loews Le Concorde de Québec, les 18 et 19 août
2005
******Programme et information:
www.favhealth2005.org/canneberge.aspx
-------------------------------------------------------
Les 6 et 7 octobre 2005
2e Symposium scientifique de l'INAF
Cet événement qui présentera les plus récent travaux de recherche et
d'innovation en cours à l'INAF ouvrrira pour la première fois ses portes aux
partenaires et professionnels du milieu.
******Où et quand? À l'Hôtel Plaza de Sainte-Foy, les 6 et 7 octobre 2005
******Programme et information: À venir
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NAASO 2005 Annual Scientific Meeting,
Vancouver, British Columbia, October 15- 19, 2005.
October 15 19, 2005, Vancouver, British Columbia.
Advance registration deadline: September 19, 2005.
Visit
www.naaso.org/annualmeeting05
-----------------------------------------------------------------
Société Canadienne de Physiologie de l'Exercice :
Du concept à la pratique : vers une vie saine au Canada
Lac Leamy, Gatineau, Quebec, du 9 au 12 novembre 2005. http://csep.ca/csep2005.asp
==========================================================
Paul Boisvert, Ph.D.
Coordonnateur de l'information et de la formation
Chaire de recherche sur l'obésité
http://obesite.chaire.ulaval.ca/
Pav. Ferdinand-Vandry - local 2205a
Faculté de Médecine
Université Laval
Québec, QC G1K 7P4
Tel.: (418) 656-2131 poste 8571
Fax :(418) 656-7898
http://obesite.chaire.ulaval.ca/cv/boisvertpaul.html (Photo)
mailto:Paul.Boisvert@ap.ulaval.ca
CLUB DE LECTURE SÉLECT EN NUTRITION
AVEC HÉLÈNE BARIBEAU ET FRANCES BOYTES
Depuis quelques années, des informations en nutrition sont publiées chaque jour par le biais de différents médias. Être à jour est devenu un devoir sans fin. Frances Boyte et Hélène Baribeau ont exprimé le désir de former un club de lecture sélect afin de mettre en commun ces nouvelles informations. Ce club sélect s’adresse aux diététistes désireux et désireuses d’échanger des informations pertinentes en nutrition afin de multiplier nos connaissances et aussi partager et élargir nos champs d’expertise respectifs afin d’être à la fine pointe des nouveautés en matières de nutrition et d’alimentation.
Échanger des informations dans un club de lecture c'est en même temps développer notre réseau de contact professionnel, lequel une fois développé peut servir à aller chercher des informations de pointe rapide et se transmettre des contacts qui parfois vont déboucher sur des contrats ou des emplois. Un club de lecture, c'est établir aussi une solidarité professionnelle entre diététistes.
Étant consciente de nos horaires respectifs chargés, nous avons prévu planifier 3 rencontres par année d’une durée de 1 heure 30. Les rencontres se dérouleront dans la salle de conférence d’Aliments de Santé Laurier, à Place Laurier, Ste-Foy.
La deuxième rencontre le 20 septembre 2005 de 7h30 à 9h00.
La troisième rencontre le 1er février 2006 de 7h30 à 9h00.
Voici l’horaire proposé des rencontres :
7h30-7h45 : bienvenue et petit déjeuner
7h45 à 8h05 : première présentation
8h05 à 8h25 : deuxième présentation
8h25 à 8h45 : discussion et questions
8h45 à 9h00 : organisation de la prochaine rencontre
PROCHAINS SUJETS À VENIR :
Pour vous inscrire, veuillez nous contacter par courriel ou par téléphone aux coordonnées suivantes, le plus rapidement possible :
Au plaisir de se rencontrer,
Hélène Baribeau
Tél. 651-3262 ou 653-8636
Courriel : helenebaribeau@sympatico.ca
Frances Boyte
Tél. 261-3286 ou 650-3256
Courriel : Francesboyte@hotmail.com
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Le livre : L’obésité, bien plus qu’une simple question d’esthétisme ou d’inconfort, est en train de miner la santé de milliards de personnes dans le monde. L’embonpoint est devenu un problème social et économique qui ne cesse de prendre de l’ampleur. Ce petit guide passe en revue les facteurs qui, au fil des dernières décennies, ont favorisé l’embonpoint, notamment la sédentarité, la prise de poids excessive pendant la grossesse et la culture de la restauration rapide. Aujourd’hui, en plus de la génétique, nos choix de vie concernant l’alimentation et l’activité physique contribuent à accroître l’incidence de l’obésité. Ce guide participe également au débat concernant les régimes miracle et propose des solutions santé ayant un effet durable. L’auteur : Jacinthe Côté est titulaire d’un baccalauréat en science de la nutrition et d’une maîtrise en science et technologie agroalimentaire. Elle signe une chronique hebdomadaire sur la nutrition à La Presse.
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FESTINS VÉGÉTARIENS
Auteure : Danielle Lamontagne, nutritionniste
format 8½X11, 64 pages illustrées
Le cahier Festins végétariens vous propose :
· 10 étapes vers la qualité totale en alimentation
· 25 suggestions de menus complets · 80 recettes faciles à réaliser, riches en saveur et en fibres dont plusieurs recettes de base · 2 fiches détachables sur la cuisson des légumineuses et des céréales
· 1 mini guide alimentaire végétarien en couleurs pour afficher sur le frigo
· Plusieurs conseils pratiques en nutrition, des trucs pour la cuisine et des moyens pour économiser du temps
Ces outils sont aussi disponibles par la poste. Pour de plus amples renseignements ou pour connaître les prix pour plusieurs exemplaires, téléphoner au (514) 727-9997.
SPÉCIAL POSTAL pour les 3 outils (Festins Végétariens + Supplément végétalien + Guide Végétarien) 25$. Envoyer un chèque à Danielle Lamontagne au casier postal 203, succursale Rosemont, Montréal, H1X 3B7
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Ou si vous le désirez, vous pouvez le commander en ligne.
GUIDE ALIMENTAIRE VÉGÉTARIEN
Danielle Lamontagne, Dt.P.
format 8½X11, 6 pages
Tout en ne privilégiant aucune approche végétarienne particulière, le Guide alimentaire végétarien s’adresse à ceux et celles qui désirent abandonner ou diminuer leur consommation de viande, peu importe la raison.
Cet outil de 6 pages illustrées en couleur, basé sur des données actuelles en nutrition, indique les quantités requises chaque jour pour les enfants de 4 ans et plus, les adolescents, les adultes, les femmes enceintes et allaitantes. Les exemples de portions dans chacun des cinq groupes alimentaires, décrivent une foule d’aliments des plus connus au plus exotiques, de quoi en surprendre plusieurs.
Ces outils sont aussi disponibles par la poste. Pour de plus amples renseignements ou pour connaître les prix pour plusieurs exemplaires, téléphoner au (514) 727-9997. SPÉCIAL POSTAL pour les 3 outils (Festins Végétariens + Supplément végétalien + Guide Végétarien) 25$. Envoyer un chèque à Danielle Lamontagne au casier postal 203, succursale Rosemont, Montréal, H1X 3B7
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GUIDE SUPPLÉMENT VÉGÉTALIEN 8½X11, 4 pages
Le Supplément végétalien s’adresse aux personnes qui ne peuvent ou qui ne veulent consommer aucun produit d’origine animale, ceci incluant les produits laitiers et les œufs. Cet outil doit se conjuguer avec le Guide alimentaire végétarien pour la charte des portions qui demeure la même. Un choix judicieux d’aliments variés dans chacun des neufs groupes alimentaires proposés par le Supplément végétalien permet de combler les besoins nutritionnels. Ces outils sont aussi disponibles par la poste.
Pour de plus amples renseignements ou pour connaître les prix pour plusieurs exemplaires, téléphoner au (514) 727-9997.
SPÉCIAL POSTAL pour les 3 outils (Festins Végétariens + Supplément végétalien + Guide Végétarien) 25$. Envoyer un chèque à Danielle Lamontagne au casier postal 203, succursale Rosemont, Montréal, H1X 3B7
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NUTRITION VALUE OF FOOD
disponible en Anglais (aussi en français), rd Edition, 2004 M. Brault Dubuc and L. Caron Lahaie -Only Canadian Food Values Table -
From Canadian Nutrient File 2002
-More than 2,000 food items
-Values for energy and 38 nutrients
-Values for 100 grams and portions
-27 different food groups, including babyfoods
Price: $48.00 per volume Volume discount: 20% for University and College bookstores Shipping : $8 per volume or $10 for 2 volumes Québec et Ontario + GST Also available
NOUVELLE ÉDITION:
Valeur Nutritive des Aliments version française, 2003 (disponible aux mêmes conditions) To order you can do on line or write to: Société Brault-Lahaie 24, rue d’Anjou Saint-Lambert, Québec J4S 1K5 Tel.: 450.671.1276 Fax: 450.671.0148
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Livre,
DE LA TÉTÉE À LA CUILLÈRE (Bien nourrir mon enfant de 0 à 1 an)
Linda Benabdesselam, Dt.P et autres
Éditons Hôpital Ste-Justine, Disponible en librairies 14,95$
Allaitement, alimentation de la femme qui allaite, comparaison de préparations lactées pour le nourrisson, introduction des solides, végétarisme chez le nourrisson, allergies alimentaires, coliques, etc.
Ou si vous le désirez, vous pouvez le commander en ligne.
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