J'ai 7 messages à partager avec vous.IMPORTANT:
Une d'entre vous m'a fait parvenir une offre d'emploi et j'ai
par mégarde supprimer l'offre, veuillez me la faire parvenir
à nouveau. Je suis vraiment désolée! Je vais l'envoyer
aussitôt que je la recevrai..
Je vous informe que je n'enlève jamais de
courriels de la base de données. Si un jour vous ne recevez
plus rien, contactez votre gestionnaire de courriel ou
écrivez-moi.
Si vous ne voyez pas les images dans mes courriels
ou si les liens ne fonctionnent pas, vous devez choisir
l'option d'affichage en HTML. Les messages vont être beaucoup
plus agréables à lire.
Au plaisir et belle journée !
Marise
Marise Charron
Nutritionniste-diététiste
Groupe Harmonie Santé
1er message:
OFFRE D'EMPLOI: liste de rappel Hôpital Pierre Boucher:
Longueuil
Nous sommes à la recherche d'une diétéiste
sur la liste de rappel pour l'été 04. Merci !.
Viviane Vinet
Chef de nutrition clinique et distribution
Centre hospitalier Pierre-Boucher
(450) 468-8003
Lotus notes: viviane.vinet@rrsss16.gouv.qc.ca
2e message:OFFRE
D'EMPLOI: Montréal et Montérégie
VIGI
SANTÉ regroupe et administre douze centres d’hébergement
et de soins de longue durée (C.H.S.L.D.) répartis dans huit
régions administratives du Québec. Notre mission est d’offrir
un milieu de vie sécuritaire, stimulant, adapté et animé
aux adultes qui vivent des problèmes de santé en raison de
leur âge avancé ou d’un handicap. Les 1700 employés de
Vigi Santé offrent des services professionnels, d’assistance
et de soutien adaptés aux besoins de nos 1 326 résidents.
L’équipe du service
alimentaire est actuellement à la recherche de :
Gestionnaires service
alimentaire
1 poste temps complet région
de Montréal (remplacement pour une période d’au moins 18
mois ou plus)
1 poste 7 jours/quinzaine de jour région de la Montérégie
(remplacement pour une période d’au moins 1 an ou plus)
Votre mandat :
Relevant du chef du service
alimentaire, le gestionnaire service alimentaire planifie,
organise, dirige et contrôle les activités relatives à la
gestion quotidienne du service alimentaire de son
établissement en collaboration avec son équipe de travail.
Il assume la gestion des ressources humaines, matérielles,
financières et informationnelles de son service. Il
collabore avec la diététiste clinicienne et l’équipe
inter-disciplinaire.
Votre profil :
Vous détenez un baccalauréat
en diététique et avez au moins 5 années d’expérience en
gestion d’un service alimentaire. Vous êtes motivé et
avez un grand intérêt à travailler pour une clientèle
âgée en perte d’autonomie. Vous êtes habilité à
travailler dans une structure comptant plusieurs
établissements. Vous avez une bonne connaissance des
logiciels Word, Excel et Outlook.
Nous vous offrons :
- 4 semaines de vacances par
année
-Salaire et avantages sociaux selon les normes du réseau de
la santé
Les personnes intéressées à
se joindre à une organisation où «L’humain est au cœur
de notre agir» sont invitées à soumettre leur
candidature en indiquant le numéro de concours MU41
au plus tard le 1er juin 2004
à l’adresse suivante :
Direction des ressources
humaines
Vigi Santé
197, rue Thornhill
Dollard-des-Ormeaux (Québec) H9B 3H8
Télécopieur : 514-684-0179
Courriel : rh@vigisante.com
3e message:OFFRE D'EMPLOI (liste de rappel): Région de
Lanaudière
Situé
à 30 minutes de Montréal,
un
milieu hospitalier vous attend à Joliette :
LE
CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE LANAUDIÈRE
Le
Centre hospitalier régional De Lanaudière est un établissement
à vocations multiples doté d’un budget de fonctionnement
de 130 millions de dollars, avec 788 lits au permis et 3 000
intervenants, dont 200 médecins.Chef de file dans la mise en place du virage
ambulatoire, le Centre hospitalier régional De Lanaudière
est au cœur d’un réseau de soins et de services dédié
au bien-être de la population du nord de Lanaudière.
Le
Centre hospitalier régional De Lanaudière est un centre de
courte durée, de longue durée physique et de psychiatrie;
il offre, entre autres, les services suivants : centre
de jour de diabète, clinique de prédialyse, hémodialyse, médecine
jour en cardiologie, gestions d’épisodes de soins en
pneumologie et en orthopédie, équipe de réadaptation 0-30
jrs, ….
Le
Centre hospitalier régional De Lanaudière est à la
recherche d’un(e)
DIÉTÉTISTE (Liste de rappel)
Pour son service
de nutrition clinique qui compte présentement
8 diététistes à temps complet et une diététiste à temps
partiel à 4 jours/semaine.Le CHRDL privilégie le travail en équipe
interdisciplinaire et encourage la formation continue de ses
employés.
Les
candidates doivent détenir un baccalauréat en nutrition et
être membre en règle de l’Ordre des diététistes du Québec.
Les
personnes intéressées doivent faire parvenir leur
curriculum vitae le plus tôt possible à madame Diane Coutu,
chef du service de nutrition clinique, Centre hospitalier régional
De Lanaudière, 1000, boulevard Sainte-Anne,
Saint-Charles-Borromée (Québec) J6E 6J2
Le
Centre de santé communautaire de l’Estrie offre à la
population francophone de l’Est de l’Ontario des services de
soins primaires et de prévention, de promotion et d’éducation.
Le CSCE est un établissement à but non lucratif
multidisciplinaire qui encourage la créativité, la
participation et le maintien d’un climat de travail stimulant.
Nous sommes à la recherche d’une personne dynamique et compétente
pour combler le poste suivant :
DIÉTÉTISTE –Projet de la Petite Enfance 2
(Poste
contractuel du 5 juillet au 31 mars 2006/0.5 ETP/17.5 heures par
semaine)
La
personne recherchée sera responsable du volet nutrition du
programme et travaillera avec des organismes de la communauté
francophone de la région d’Alexandria.
Tâches principales :
·Faire du counselling nutritionnel auprès des
parents et enfants du programme de la petite enfance et de la
clientèle régulière du Centre;
·Mettre en place des stratégies
de prévention en collaboration avec le milieu dans le domaine
de la nutrition en particulier chez les mères adolescentes;
·Agir comme personne
ressource auprès d’agences desservant la petite enfance
francophone.
Exigences :
Baccalauréat
en nutrition et alimentation.
Membre
du Collège des diététistes de l’Ontario ou éligible à
le devenir.
Expérience
en nutrition communautaire.
Bonne
connaissance du milieu communautaire.
Excellentes habiletés de communication
dans les deux langues officielles (écrite et verbale).
Lieu : Alexandria
Conditions :Selon l’échelle du CSCE
Veuillez
faire parvenir votre demande accompagnée de votre curriculum
vitaeavant
16h00 le vendredi 21 mai 2004.
Mme
Linda Labelle, Coordonnatrice des ressources humaines
Centre
de santé communautaire de l’Estrie
841, rue Sydney, Unité 6
Cornwall, Ontario, K6H 3J7
Télécopieur : (613) 937-2698
Courriel : l.labelle@cscestrie.on.ca
5e message:BULLETIN L'
Agro-Aliment-Terre no 2 D'Isabelle Gohier, Dt.P. MBA
Ce
bulletin virtuel a été conçu spécialement pour les
entreprises de transformation alimentaire, pour les diététistes/nutritionnistes
et pour les intervenants intéressés par ce secteur.
Nous désirons que ce bulletin vous apporte de l’information
stratégique, à jour et provenant de sources fiables.
Il se veut également une tribune pour faire connaître vos
nouveaux produits.
N’hésitez pas à nous faire part de vos suggestions et/ou
commentaires.
Bonne lecture ! Isabelle Gohier, diététiste MBA spécialité
Agroalimentaire
6e message:SALON :
Sécurité des aliments: exposants et conférences
Salon « Sécurité des aliments : exposants et conférences »
17 & 18 septembre 2004
La Fondation des gouverneurs vous invite à visiter le site Internet du Salon « Sécurité des aliments : exposants et conférences » qui aura lieu les 16 & 17 septembre 2004 au CRDA, St-Hyacinthe. Vous y trouverez entre autres les renseignements relatifs aux exposants.
Salon « Sécurité des aliments : exposants et conférences »
16 & 17 septembre 2004
Pour de plus amples informations, veuillez contacter Éveline Cournoyer au (450) 773-1105 ou par courrier électronique à l'adresse suivante
cournoyere@agr.gc.ca
7e message:Démarche faite
par une diététiste concernant une publicité de Tim Horton !
Belle lecture et bravo pour cette initiative ! Marise
Je lis depuis quelques
semaines des informations concernant la publicité faite par la
compagnie Tim Horton.
J'aimerais apporter un précision
quant à la séquence des actions nécessaires pour que se soit
effectué un changement de publicité suite aux protestations
que j'ai communiquées après avoir vu la
publicité faite par Tim Horton où on montrait un papa
donner un beigne ( et glorifier ce geste) à un très jeune
enfant.
J'ai d'abord écrit à la
compagnie Tim Horton pour leur signifier que je trouvais
qu'ils ne se comportaient pas en citoyen corporatif
responsable.
Au même moment, j'ai écrit à
Radio -Canada,téléjournal, qui diffusait le message
le lendemain je
contactais Dr Boisvert qui me suggérait d'écrire aux
journaux. Pour sa part Dr Boisvert a entrepris des actions
concernant la publicité faite envers les enfants.
Puis j'ai contacté l'ombudsman
de Radio-Canada qui m'a répondu "Bonjour Madame Bernier,
Suite à votre courriel,nous avons immédiatement communiqué
avec l'agence de publicité pour leur communiquer vos inquiétudes
et votre indignation.Le lendemain,nous recevions(15avril)une
copie revisée du message publicitaire et cette
fois-ci,l'enfant ne goûtait plus au beigne.
Quant au conflit entre contenu de reportage et publicité,vous
avez raison de dire que les publicités n'influencent pas les
reportages mais nous faisons tout notre possible pour que
l'intégrité, tant du reportage que du commanditaire, soit
respectée.
Par contre, le message de Tim Hortons respecte toutes les
normes de Santé Canada et du Code publicitaire de
Radio-Canada(http://www.cbc.radio-canada.ca/htmfr/politiques/publicitairehtm)
il peut cependant plaire à certains et déplaire à
d'autres.Comme votre commentaire était d'une grande
sensibilité et d'une pertinence on ne peut plus pointue ,il a
été immédiatement écouté par tous les partis.
Soyez assurée,Madame Bernier,que vos commentaires nous sont
précieux et n'hésitez pas à communiquer directement avec
nos services si jamais vous aviez d'autres questions ou
remarques.
Claude Perrault
La Presse a publié mon
texte le 18 avril (voir texte plus bas)
Il s'agit donc d'une action concertée
qui a été dirigée vers les personnes qui pouvaient apporter
un changement. Par ailleurs j'ai contacté à nouveau
Radio-Canada (ombudsman) car à mon avis il y a conflit:
"En conclusion, les
diffuseurs dont vous êtes, ne peuvent à un moment donné se
plaindre des désordres nutritionnels qui affligent nos
populations et en même temps accepter d'être la courroie de
transmission de l'industrie alimentaire lorsque celle-ci, qui
dispose de moyens de publicité disproportionnés par rapport
aux budgets de Santé publique pour l'éducation en nutrition,
envoie des messages qui affectent négativement la santé des
populations. Vous ne pouvez avoir le beurre et l'argent du
beurre, c'est une question de déontologie. Si vous choisissez
de diffuser de tels messages, alors vous vous enlevez le droit
de protester contre cette industrie. Si vous faites les deux,
vous n'êtes pas conséquents et votre crédibilité est
compromise."
Par ailleurs, il est intéressant
de noter quece type de démarche est maintenant décrit
dans le Code des Professions, tel que modifié par la loi
90 ,
« 39.4.
L’information, la promotion de la santé et la prévention de
la maladie, des accidents et des problèmes sociaux auprès des
individus, des familles et des collectivités sont comprises
dans le champ d’exercice du membre d’un ordre dans la
mesure où elles sont reliées à ses activités
professionnelles.»
Merci et Bonne journée
Paule Bernier, Dt. P., M.Sc.
LETTRE ENVOYÉE
Une
publicité télévisée de la compagnie Tim Horton m’a fait réagir.On y voit papa et son très jeune enfant se balader en
carriole dans une érablière et papa de donner tout gentiment
une belle bouchée de beigne à son joli bambin…L’esthétique
est fort belle, le fond l’est moins. En effet, lespublicités font plus qu’inciter à acheter les
produits, ils véhiculent des messages qui peuvent avoir une
portée qui n’avait peut-être pas été prévue à
l’origine. Or cette publicité de Tim Horton porte à réfléchir.
Cautionne-t-elle les comportements qui peuvent être jugés
comme étant inappropriés ? Fait-elle appel à une fibre
sensible qui rassure le parent et le déculpabilise lorsqu’il
agit de la sorte ? Encourage-t-elle à développer le goût chez
les jeunes enfants pour les aliments gras et sucrés puisque
c'est à cet âge si malléable ques'établissent les bases de nos habitudes futures ? Ce
qu’elle fait certainement, c’est banaliser l’impact de nos
comportements alimentaires individuels sur l’ensemble de la
société, car rappelons-le, le système de santé public traite
en très grande partie des gens qui souffrentde diabète, d’insuffisance rénale, de désordres du métabolisme
des lipides (hypercholestérolémie…), de maladies
coronariennes. Ce sont là toutes des pathologies qui ont
souvent en commun un type de malnutrition : l’obésité.
Or, puisque le résultat est une utilisation accrue des
ressources telles l’hémodialyse, les pontages coronariens,
les séjours aux soins intensifs, les complications infectieuses
en présence de diabète mal contrôlé…, personne ne devrait
plus ignorer cette cascade où l’accessibilité aux services
de santé est grandement réduite. Prenons l’exemple des
pontages coronariens (remplacement de vaisseaux artériels bouchés
du cœur par des vaisseaux«sains» de la jambe). Il sepratique au Québec chaque année plusieurs milliers de
ces interventions; tous ces patients sont mis sur ventilateurs
et transitent par l’unité des soins intensifs . La plupart évoluent
bien mais certains développent des complications majeures.
Puisque le nombre de chirurgies de ce genre est en forte hausse
depuis qu’on a commencé à les pratiquer, l’accès à
l’unité des soins intensifs pour les patients présentant
d’autres types de pathologies tels choc septique, insuffisance
respiratoire, surveillance post-opératoire, peut-être
compromis. La décision d’agrandir l’unité des soins
intensifs s’impose donc. Par ailleurs le temps disponible au
bloc opératoire pour les chirurgies de tous genres est affectéet ceci contribue à allonger les listes d’attente.
Pour
le Ministère de la santé, donc pour chaque citoyen
contribuable, l’impact économique est majeur. Les séjours
hospitaliers coûtent cher,non seulement parce que la durée de séjour lors de
complications est significativement plus longue mais aussi parce
que les coûts par jour augmentent car il y a utilisation accrue
de ressources ( soins spécialisés, consultations auprès des
diverses spécialités médicales et professionnelles, analyses
de laboratoire et imagerie médicale, pharmacothérapie). Le
Ministère doit aussi investir dans les infrastructures, ne
serait-ce que pour réorganiser l’espace physique à l’intérieur
d’un centre hospitalier. L’impact économique est aussi très
important pourles
entreprises où la productivité des employés maladesest diminuée et où le taux d’absentéisme des
patients, qui sont en traitement plutôt que d’être actifs,
affecte l’organisation du travail. La productivité et le taux
d’absentéisme des aidants dits naturels (les conjoints et la
famille des patients) influencent aussi la performance des
entreprises. Par ailleurs, les primes d’assurance collective
augmentent de façon fulgurante (tout comme le régime
d'assurance médicaments provincial).Du point de vue individuel,la situation économique et sociale se détériorent en
présence de maladie chronique. Bref, nous avons tous une
influence sur les coûts de santé. La responsabilité
individuelle certes, mais aussi la responsabilité des
compagnies qui mettent en marché leurs produits et celledes diffuseurs publics et privés sont ici mises en
cause.