1er message:
OFFRE D'EMPLOI: GROUPE COMPASS: 1ÈRE OFFRE
Groupe Compass, chef
de file dans la gestion et l’exploitation des services
alimentaires veut s’adjoindre un spécialiste pour lui
confier la responsabilité d’un groupe d’établissements.
Présent dans plus de 260 établissements au Québec, nous
sommes à la recherche d’un :
GÉRANT DE DISTRICT
Sous la
supervision du directeur régional à l’exploitation, la
personne recherchée aura comme mandat
non seulement la supervision des gestionnaires des unités,
mais également la croissance de ces dernières tout en
restant à
l’affût de nouvelles occasions d’affaires.
-
Vous
serez responsable d’une équipe de gestionnaires d’unités
et devrez agir en tant que coach auprès de ces derniers,
afin d’assurer un suivi budgétaire serré. Vous jouerez
également un rôle important quant à la gestion et la
commercialisation, en vue d’optimiser l’efficacité des
différentes unités sous votre responsabilité.
-
Vous
vous assurerez de l’application des politiques et des
normes d’exploitation ainsi que des programmes de mise en
marché et d’assurance qualité.
-
Bon négociateur,
vous aurez à maintenir des relations de partenariat avec
vos clients tout en respectant les ententes contractuelles.
Exigences :
-
Vous
possédez une formation pertinente de l’I.T.H.Q. /
T.G.S.A. ou un baccalauréat dans une discipline appropriée.
-
Vous
avez acquis un minimum de cinq années d’expérience en
gestion de services alimentaires.
Des compétences en marketing d’exploitation de
concepts et/ou de bannières sont un atout.
-
Vous
maîtrisez l’anglais et le français ainsi que les
logiciels Word et Excel et faites preuve de leadership et
d’autonomie.
Vous
recherchez un emploi où vos idées et initiatives seront
mises en valeur, ne manquez pas l’occasion de vous joindre
à notre équipe remarquable !
Communiquez votre intérêt à : Yan Montplaisir au numéro
suivant (514) 761-5802 #
220 ou par télécopieur (514) 761-2786
yan.montplaisir@compass-canada.com
Seuls les candidats retenus seront contactés
2e message:
OFFRE D'EMPLOI: GROUPE COMPASS: 2E OFFRE
Titre du poste : Directeur des services alimentaires
Endroit : Montréal, Québec
Secteur/Service : Chartwells C&U & Morisson
Recette du succès
· Avoir la responsabilité de l’exploitation générale du service alimentaire, des services traiteurs, des services en salle de conférence et des ventes par machines distributrices ;
· Assurer la conformité des politiques de l’entreprise en matière de ressources humaines, santé & sécurité et contrôle des coûts ;
· Assurer de maintenir des relations de partenariat avec vos clients tout en respectant les ententes contractuelles
· Planifier et préparer les résultats financiers tels que budgétés
· Administrer les rapports quotidiens et hebdomadaires;
· Superviser et gérer les ressources humaines composées d’environ 20 employés syndiqués ;
· Créer et implanter des plans de marketing ;
· Coordonner les services traiteurs et les autres événements.
Ingrédients nécessaires
· Diplôme post-secondaire en cuisine ou toute autre formation reliée au monde de l’alimentation;
· Minimum 5 ans d’expérience en gestion des services alimentaires et services traiteurs;
· Vous maîtrisez l’anglais et le français ainsi que les logiciels Word et Excel et faites preuve de leadership, autonomie.
Acheminez votre candidature à Yan Montplaisir, télécopieur : 514-761-2786,
yan.montplaisir@compass-canada.com
3e message:
OFFRE D'EMPLOI (liste de rappel): Région de
Lanaudière
CONCOURS 2004-2005-P01 POSTE TEMPORAIRE À TEMPS COMPLET
CLASSE D'EMPLOI : Nutritionniste
STATUT : Personne professionnelle temporaire chargée de projet
SERVICE : Direction générale
SUPÉRIEUR IMMÉDIAT : Jean M. Poirier, CRHA, directeur général
DURÉE DE L’EMPLOI : Du 7 septembre 2004 au 30 mars 2005
Contexte :
Le Cégep régional de Lanaudière endosse le projet « Participe à ta santé » qui rejoint une problématique d’actualité : les habitudes de vie des jeunes qui contribuent à l’incidence de l’obésité et, à plus long terme, génèrent des maladies chroniques telles que le diabète.
La clientèle visée par le projet est les 5 -18 ans de la région de Lanaudière. Les milieux d’intervention sont les écoles primaires (20), les écoles secondaires (2) et les 3 collèges constituants du Cégep régional de Lanaudière.
Basé sur les principes de l’approche écologique, le projet a pour principaux objectifs de favoriser :
-l’adoption de saines habitudes de vie en ce qui à trait à la nutrition et à l’activité physique;
-l’aménagement de l’environnement afin de renforcer l’adoption de saines habitudes de vie.
Nature du travail
En collaboration avec la personne responsable du projet, la ou le nutritionniste supporte l’élaboration et la réalisation des activités liées à la nutrition dans les trois (3) milieux d’éducation. Cette personne s’implique à tous les niveaux du processus de gestion du projet : développement des stratégies d’intervention, planification, organisation, animation, suivi et évaluation.
Description de tâches :
-elle sensibilise le milieu à la problématique ;
-elle collabore avec le service alimentaire afin d’offrir au milieu un environnement alimentaire adéquat ;
-elle favorise l’implication du personnel et la mobilisation du milieu;
-elle favorise les liens avec d’autres ressources (du CLSC ou de la communauté) ;
-elle accorde son soutien aux enseignants dans leur intégration de la problématique au
curriculum
Gisèle Guilbault
Coordonnatrice, projet "Participe à ta santé"
Cégep régional de Lanaudière
tél: 450-470-0911 poste 7224
gisele.guilbault@collanaud.qc.ca
4e message:
17 MESSAGES DU BOISVERT, CHAIRE UNIVERSITÉ LAVAL
Pour en savoir
davantage sur l'étiologie, la prévalence, les complications,
le traitement et la prévention de l'obésité, veuillez
consulter le site internet de la Chaire de recherche sur l'obésité
http://obesite.chaire.ulaval.ca
5
Dans
les magazines québécois pour adolescentes, rien ne compte plus
que l'apparence
Fil des événements 6 mai
Université Laval
Que les jeunes filles de 12 à 17 ans se le tiennent pour dit:
la réalisation de soi passe, d'abord et avant tout, par
l'apparence et la présence d'un petit ami dans leur vie. Point
à la ligne. Telle est l'une des conclusions à laquelle est
arrivée Caroline Caron dans son mémoire de maîtrise en
communication publique. Après avoir analysé le contenu de
douze numéros des populaires magazines Cool, Adorable et Filles
d'aujourd'hui publiés au cours de l'année 2002, la chercheure
a constaté que près de 65 % des articles y parlaient de
l'apparence, des garçons et des relations hommes-femmes. <Le
rôle de l'école dans le développement personnel et social,
celui de l'activité physique dans la santé, de même que les
modèles identitaires progressistes ne sont pas mis
explicitement en évidence.»
Pour en savoir plus:
http://www.ulaval.ca/scom/Au.fil.des.evenements/2004/05.06/presse.html
L'obésité infantile conduira à de
graves problèmes de santé au cours des prochaines décennies
Les enfants qui souffrent aujourd'hui de surpoids ne sont pas
condamnés à être gros toute leur vie, mais ils auront énormément
de travail à faire pour se dégager des flasques tentacules de l'obésité.
C'est le triste constat qui s'impose au terme de la conférence
prononcée par le professeur Denis Richard, directeur du Centre de
recherche de l'Hôpital Laval et titulaire de la Chaire de recherche
sur l'obésité Donald B. Brown, dans le cadre du Colloque sur l'obésité
infantile qui avait lieu le 14 mai sur le campus. Présenté par le
programme de kinésiologie de la Faculté de médecine et par
l'Ordre professionnel des diététistes du Québec, cet événement,
qui a réuni plus de 300 participantes, cherchait à faire le point
sur l'épidémie d'obésité infantile qui sévit actuellement et
sur les moyens à prendre pour la contenir.
À travers le monde, le nombre d'enfants gros ou obèses atteint
plus de 155 millions chez les 1 à 10 ans. En Amérique, un enfant
sur trois a un sérieux problème de poids; en Europe, on parle de 1
sur 5. La prévalence de l'obésité a triplé en 20 ans et elle
progresse toujours. «On a créé des environnements qui favorisent
l'obésité», résume Denis Richard pour expliquer la lourde
tendance.
Bien sûr, les jeunes bougent moins qu'autrefois, mais l'exercice
n'est pas la panacée. «J'accompagnais ma fille de dix ans lors
d'une récente compétition de natation et environ le tiers des
jeunes athlètes présentes avaient un surpoids, raconte Denis
Richard. L'abondance de nourriture riche, la taille des portions et
la palatabilité des aliments contribuent également au problème.»
Mêle si la cause du surplus de poids paraît simple on consomme
plus de calories qu'on en brûle -, la correction du problème est
complexe. «Les rats de laboratoire à qui on donne une alimentation
riche de leur naissance jusqu'à l'âge de huit semaines accumulent
rapidement un excès de poids, relate Denis Richard. Par la suite, même
si on leur donne de la moulée standard, ils demeurent plus gros que
les animaux qui ont toujours eu une alimentation normale. La
consigne de poids corporel monte rapidement, mais elle est très
difficile à faire baisser. Chez les animaux comme chez les humains,
le corps se défend contre une perte de poids.»
L'avenir ne s'annonce pas rose pour les jeunes obèses. «Il est très
difficile de perdre du poids de façon permanente une fois qu'on l'a
gagné. Il faut beaucoup de volonté et il faut modifier ses
comportements de façon durable. Pour plusieurs des enfants de l'épidémie
actuelle, ce ne sera pas suffisant. Ils vont devoir avoir recours à
la médication et même à la chirurgie», prédit Denis Richard.
http://www.ulaval.ca/scom/Au.fil.des.evenements/2004/05.20/obesite.html
7. Un centre de recherche en prévention de l'obésité
Communiqué Université Laval
http://www.ulaval.ca/scom/Communiques.de.presse/2004/mai/Chairepreventionobesite.html
Le recteur de l'Université Laval, Michel Pigeon, a
annoncé aujourd'hui la création du Centre de recherche en prévention
de l'obésité (CRPO) en présence du directeur général de l'Hôpital
Laval, Gilles Lagacé, et du président du conseil d'administration
de la Fondation Lucie et André Chagnon, André Chagnon. Issu d'un
partenariat entre la Fondation Lucie et André Chagnon, l'Université
Laval et l'Hôpital Laval, le CRPO aura pour objectif premier la prévention
de l'obésité. Le Centre bénéficiera d'un investissement de 10
millions de dollars, sur 10 ans, de la Fondation Lucie et André
Chagnon et des infrastructures que lui prêtera l'Hôpital Laval.
Ayant pour mission de développer le savoir pour réduire et prévenir
l'obésité en se centrant sur les besoins de l'intervention, le
CRPO s'adressera principalement aux intervenants sur le terrain. Des
chercheurs de disciplines et de formations différentes
travailleront en synergie afin de! favor iser l'émergence
d'approches novatrices en matière de prévention de l'obésité. De
plus, l e CRPO a établi des liens de partenariat avec d es
organismes subventionnaires tels que l'Institut de recherche en santé
du Canada, l'Institut national de santé publique, le Fonds de
recherche en santé du Québec, le Fonds québécois de recherche
sur la société et la culture ainsi que le ministère de la Santé
et des s ervices sociaux.
voir aussi
Un centre de recherche virtuel en prévention de l'obésité
Caouette, Marie Le Soleil Actualités, vendredi 7 mai 2004,
p. A5
http://lesoleil.cyberpresse.ca/
La richissime Fondation Lucie et André Chagnon investit à
nouveau à Québec, dans un centre de recherche virtuel sur la prévention
de l'obésité qui sera doté de 10 millions $. Les premiers projets
viseront la clientèle enfantine
L'argent n'ira pas dans le béton et aucune équipe permanente de
chercheurs ne sera non plus constituée ; le centre se résumera à
une petite équipe de gestion qui logera dans un bâtiment derrière
l'hôpital Laval. Le centre dépensera plutôt ses sous (un million
de dollars par an pendant 10 ans) dans des projets de recherches très
ciblés menées par des équipes de chercheurs qui pourront provenir
de diverses disciplines et de toutes les universités canadiennes.
On les invitera à s'associer dans des joint ventures,
expliquait hier en entrevue M. Roch Boucher, directeur du nouveau
centre, en marge du lancement du centre, qui avait lieu à
l'Université Laval.
Pour en savoir plus
http://lesoleil.cyberpresse.ca/
8.Obésité gadget pour ne plus mettre les bouchées
doubles
Daniel Yee 19/05/2004 Associated Press (AP)
http://www2.infinit.com/techno/nouvelles/archives/2004/05/20040519-160620.html
Nouveau remède contre l'obésité: un gadget buccal contraignant
son porteur à avaler de petites bouchées devrait être
commercialisé prochainement aux États-Unis. L'appareil, amovible,
placé dans la bouche par un dentiste, pourrait aider à perdre du
poids en ralentissant l'absorption de la nourriture. S'il est utilisé
sans tricher...
«Beaucoup de gens mangent tellement vite aujourd'hui que
l'information (d'être rassasié) n'a pas le temps de monter au
cerveau», affirme William Longley, le PDG de la compagnie
Scientific Intake d'Atlanta. «Ralentir le rythme fait en sorte que
vous vous sentez repu avec moins de nourriture», soutient-il. Il
affirme avoir perdu 6,3 kilos en utilisant son appareil de manière
irrégulière pendant cinq mois.
Cet appareil, baptisé «DDS System» devrait ainsi être mis en
vente prochainement, au coût de 400 dollars pièce. Il exige une
visite chez le dentiste afin de confectionner un moule de la
dentition pour ensuite fabriquer l'objet sur mesure.
Pour Madelyn Fernstrom, directrice du centre de gestion pondérale
de la faculté de médecine de l'Université de Pittsburgh, il n'est
pas nécessaire de payer si cher pour perdre du poids. «Ce n'est
pas un système, ce n'est qu'une barrière physique au fait de
manger», souligne-t-elle, en estimant que l'utilisation d'une
petite cuillère de bébé aurait le même effet.
«Il s'agit d'une tentative significative d'aider les gens à
changer leurs comportements alimentaires mais nous avons besoin de
plus de connaissances à long terme», affirme pour sa part Judith
Stern, professeur de nutrition et de médecine interne à
l'Université de Californie à Davis. «Parce que perdre du poids,
c'est relativement facile. Mais ne pas regrossir est beaucoup plus
ardu.»
http://www2.infinit.com/techno/nouvelles/archives/2004/05/20040519-160620.html
(cliquez sur l'adresse ci-dessus ou copiez-la dans votre
navigateur)
-------------------------------------------------------------------
9. Appareil contre l'obésité
testé en Italie
La Presse Actuel, mercredi 19
mai 2004, p. ACTUEL4
http://www.cyberpresse.ca/reseau/
AFP. Rome,
Italie - Un stimulateur gastrique breveté par des chirurgiens
italiens pour soigner l'obésité
va être prochainement implanté sur 350 patients dont une trentaine
à l'hôpital de Vicenza en vue d'obtenir son autorisation sur le
marché américain, a indiqué l'équipe médicale hier.
L'appareil conçu sur le modèle de la petite pile qu'on pose aux
personnes souffrant de problèmes cardiaques (pacemaker) pèse 55
grammes et stimule la sensation de satiété au moyen d'une électrode
reliée à la paroi de l'estomac. Le port de ce stimulateur
gastrique, qu'il faut moins d'une heure à implanter par
laparoscopie, n'occasionne pas de handicaps particuliers au patient,
qui doit cependant éviter de se plier, de soulever des objets
pesants ou de faire des activités physiques intenses non autorisées
par le médecin.
Toute la nouvelle
http://www.cyberpresse.ca/reseau/
-----------------------------------------------------------------
10.
Atkins dans les patates?
Fil des événements 20 mai Université Laval ;
JEAN HAMANN
http://www.ulaval.ca/scom/Au.fil.des.evenements/2004/05.20/atkins.html
Une étude de l'INAF démontre qu'un
régime riche en glucides complexes peut réduire les risques de
maladies cardiovasculaires
Le professeur Benoît Lamarche ne veut
pas faire le procès du régime Atkins, mais une étude qu'il a présentée
à San Francisco en début mai, avec l'étudiante-chercheure Sophie
Desroches, apporte la preuve que les glucides ne sont pas le monstre
dépeint par le régime alimentaire de l'heure aux États-Unis. Le régime
Atkins, qui attribue aux glucides l'épidémie actuelle d'obésité
et son cortège de maladies, propose d'éliminer presque complètement
les féculents et les autres sucres de notre alimentation. En
revanche, il recommande de consommer davantage de protéines et de
gras pour perdre du poids et vivre en santé. La popularité de ce régime
est telle - environ 20 millions d'Américains l'auraient adopté -
qu'une nouvelle génération de produits «faibles en glucides» a
pris d'assaut les tablettes des épiceries et que les producteurs de
pommes de terre de l'Est du Canada se retrouvent cette année avec
d'énormes surplus sur les bras!
L'un des éléments qui milite contre les régimes riches en
glucides est qu'ils abaissent le niveau de bon cholestérol dans le
sang. L'étude rendue publique lors du Congrès de l'American
Heart Association par les chercheurs Lamarche et Desroches, de
l'Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), démontre
qu'un tel régime abaisse effectivement de 10 % le taux de bon
cholestérol sanguin. Toutefois, il provoque également une baisse
équivalente ou supérieure des indicateurs de risques
cardiovasculaires.
Les chercheurs arrivent à ces constats après avoir soumis une
trentaine de sujets à une diète riche en glucides. Les heureux
participants consommaient, à volonté, les plats préparés par l'équipe
de recherche. «Nous n'avons pas limité les quantités parce que
nous voulions recréer les conditions qui s'apparentent le plus à
la vraie vie», signale Benoît Lamarche. Après six semaines, le
taux de mauvais cholestérol des participants avait diminué de 18
%, leur indice d'athérogénicité (cholestérol total/bon cholestérol)
avait chuté de 10 % et ils avaient perdu trois kilos en moyenne. «Même
si le régime faible en gras et riche en glucides complexes fait
baisser le taux de bon cholestérol dans le sang, il n'augmente pas
le risque de maladie cardiovasculaire», concluent les deux
chercheurs.
Benoît Lamarche rappelle que le bon cholestérol sert à vidanger
le mauvais cholestérol qui s'accumule sur la paroi interne des
vaisseaux sanguins. «Si le bon cholestérol diminue chez les gens
qui consomment un régime riche en glucides complexes, c'est peut-être
parce qu'ils en ont besoin en moins grande concentration pour «gérer»
leur mauvais cholestérol, qui lui aussi est en baisse», propose le
directeur de l'INAF. Les organismes canadiens et américains préoccupés
par la santé cardiaque recommandent d'adopter un régime
alimentaire contenant 55 % de glucides et moins de 30 % de gras.
http://www.ulaval.ca/scom/Au.fil.des.evenements/2004/05.20/atkins.html
Communiqué
http://www.ulaval.ca/scom/Communiques.de.presse/2004/mai/santecardiovasculaire.html
11.
L'huile «miracle» du docteur Jones
Le Devoir 19 mai 2004 p. d6
http://www.ledevoir.com/
Nous pourrions bientôt utiliser en cuisine une huile non
seulement bonne au goût, mais qui fait en plus maigrir. C'est là
la découverte de Peter Jones, professeur à l'école de diététique
et de nutrition humaine de l'université McGill, qui parle à la
blague de son «huile miracle».
Il s'agit d'une huile végétale qui se compose à 65 % d'huiles
tropicales ainsi que d'huile d'olive (12 %), d'huile de canola (7
%), d'huile de lin (7 %), d'huile de noix de coco (6 %) et de
phytostérols (3 %). Baptisée pour l'instant «huile fonctionnelle»,
le secret «magique» de son huile est le fait qu'elle comporte
surtout des triglycérides à chaîne moyenne (plutôt que des
triglycérides à chaîne longue). Or, cette propriété fait que
l'huile se rend au foie où elle est transformée en énergie plutôt
qu'emmagasinée dans le corps sous forme de tissus adipeux. D'où le
fait qu'elle accélère le métabolisme et favorise la perte de
poids. Lors d'études réalisées sur des hommes, ceux-ci ont perdu
en moyenne près d'une livre par mois. ...
Toute la nouvelle
http://www.ledevoir.com/
12.
Pas d'égalité des sexes devant l'excès de
poids
Une équipe de chercheurs montréalais a démontré qu'en
matière de contrôle du poids, les femmes et les hommes québécois
sont bien différents. Chez l'homme par exemple, une forte
consommation de gras est généralement associée à un surplus de
poids, ce qui n'est pas le cas chez la femme. Ce que cela révèle
toutefois, c'est que les femmes qui ont un surplus de poids ont un
apport en gras moindre, mais que leur apport en carbohydrates ou en
sucres simples est probablement plus élevé. Cette étude a révélé
que plus son revenu familial était élevé, moins une femme avait
de risques de connaître des problèmes de poids. À l'inverse, son
âge, le fait de parler une autre langue que le français et de
vivre en milieu rural ne peut que la prédisposer à de
l'embonpoint.
Factors associated with overweight and obesity in Quebec adults
I Huot, G Paradis & M Ledoux International Journal of Obesity
Volume 28 Issue 6: 766-774
http://www.nature.com/cgi-taf/DynaPage.taf?file=/ijo/journal/v28/n6/full/0802633a.html
13.
FILM "Super size me" ou comment prendre
25 lbs en 30 jours
Le film de Morgan Spurlock qui montre comment il a gagné 25
livres en s,alimentant exclusivement chez Mc Donald's durant 30
jours, sera sur les écrans canadiens à compter du 21 mai. Un
documentaire-choc, sorte de journal intime et engagé, critique
virulente de la malbouffe et de ses ravages en Amérique. Morgan
explore plusieurs aspects du phénomène de l'obésité et de la
culture - pour ne pas dire du culte - du junk food aux États-Unis.
Il traite par exemple de la responsabilité sociale des grandes chaînes
comme McDonald's et de l'éducation en matière de nutrition. Et du
problème de santé publique réel que pose la suralimentation au
pays de l'oncle Sam.
Depuis la présentation du film dans les festivals de films, Mc
Donald's a éliminé les portions géantes, lancé des menus santé,
et promouvoie la pratique d'activité physique. En ce moment, vous
pouvez même obtenir un compteur de pas gratuit à l'achat d'une des
nouvelles salades et d'une bouteille d'eau.
Pour en savoir plus sur le film
http://supersizeme.com
ou autres commentaires
http://www.harvardmagazine.com/on-line/050465.html
14.
150 minutes d'éducation physique par semaine:
des appuis
La Tribune Sports, jeudi 20 mai 2004, p. C1
http://www.cyberpresse.ca/tribune/
Les éducateurs physiques de l'Estrie reçoivent plusieurs
appuis importants dans leur lutte pour faire augmenter le nombre de
minutes d'éducation physique à l'école.
Un minimum de 150 minutes obligatoires d'éducation physique et à
la santé par semaine dans les écoles du Québec, c'est ce que
demandent l'Association des éducateurs et éducatrices physiques de
l'Estrie (AÉÉPE et un regroupement universitaire en éducation
physique.
Les maires de Québec Jean-Paul L'Allier, de Sherbrooke, Jean
Perrault, et Michel Prescott , vice-président du comité exécutif
de la ville de Montréal, participaient hier à une conférence de
presse vidéo qui se déroulait simultanément depuis Sherbrooke,
Montréal et Québec. L'auteur Paul Ohl, le président des médecins
omnipraticiens du Québec, Renald Dutil, Louise Mainville, de la
Commission scolaire de Montréal, et le doyen de la Faculté d'éducation
physique et sportive de l'Université de Sherbrooke, Paul Deshaies,
étaient aussi du nombre.
L'AÉÉPE demande au gouvernement du Québec qu'il règle la
question du temps alloué à l'éducation physique et à la santé
dans nos écoles. L'organisme estime qu'un minimum de 150 minutes
par semaine doit être obligatoire pour que nos jeunes puissent acquérir
à la fois des compétences qui leur permettront de pratiquer des
activités physiques et sportives durant toute leur vie et prendre
de saines habitudes de vie. La société québécoise y gagnera en
raison de la meilleure santé de ses citoyens, ce qui ferait
diminuer les coûts du système de santé, affirme l'AÉÉPE.
15.
Comment faire
danser un Américain obèse?
L'organisme Blue Cross /
Blue Shield du Minnesota mène une campagne pour conseiller aux
Américains un peu trop enveloppés de bouger leur corps au moins 10
minutes, et ce trois fois par jour. L'un des conseils est de danser,
peu importe où et quand.
La campagne comprend notamment la création d'un site Web, Do-groove.com,
à l'allure particulièrement branchée, où l'on peut découvrir
comment danser quand on est obèse et même s'entraîner devant son
ordinateur, puisque la musique spécialement composée pour la
campagne y est téléchargeable.
Pour voir cette pub:
http://www.infopresse.com/articlecomplet.aspx?IdArticle=8681
16.
Programme de natation de base
Paul Boisvert, PhD
La natation est un excellent exercice pour solliciter
l'endurance musculaire et cardio-respiratoire. Elle sollicite autant
le haut du corps que le bas du corps. La natation procure un
sentiment de relaxation après une bonne séance. Un anti-stress par
excellence, ce qui est fort apprécié lors de périodes de
tensions. Un sport complet apprécié d'autant plus qu'il
supporte le poids du corps et des articulations. Il faut toutefois
surveiller les épaules!
"1km de natation c'est bien, 2km c'est mieux, et 3km c'est
parfait"
La distance minimum à parcourir lors d'une séance pour retirer des
bénéfices pour la santé est de 1km ou 40 longueurs de 25m, soit
environ 200kcal; encore mieux, il faudrait franchir 2km pour dépenser
400 kcal. Idéalement, un programme de perte de poids efficace
pourrait compter sur une distance de 3km, soit 600 kcal. Ce qui est
habituellement réservé aux nageurs entraînés qui ont une
excellente technique.
1km 200 kcal *
2km 400 kcal
3km 600 kcal
*quelque soit la vitesse ou le temps d'exécution, considérant une
technique de nage adéquate
et un poids moyen de 150 lbs (70kg). Ajouter 1kcal/km/lb Exemple:
une personne de 200lbs dépensera environ 200 + 50= 250 kcal par km
de nage
L'objectif des premières séances sera de réussir progressivement
à nager 1 km, 2 à 3 fois par semaine en alternant les autres
jours par le programme de marche, de musculation ou de vélo.
Le 1km sera nagé de la facon suivante: 5 L crawl, 5L dos, 5 L
brasse et 5L jambes avec planche avec un repos de 30 secondes entre
les distances. puis recommencer. Le temps de nage sera d'environ 40
min (10 fois 4min, repos inclus).
A la fin du mois d'entraînement, vous avez comme défi de réduire
à 30 min le temps nécessaire pour accomplir son km à une vitesse
modérée. Si tout va bien, augmentez la distance progressivement à
2km après quelques semaines d'entraînement.
La séance débute préalablement par 5 min d'exercices d'étirements
des bras et des jambes et plusieurs rotations des bras. Les premières
longueurs de piscine doivent être nagées à une vitesse lente pour
compléter l'échauffement.
Pour varier la pratique, faites 1L rapide à toutes les 5L.
Vous pouvez aussi changer de style de nage à toutes les longueurs.
Pour la motivation, demandez à un ami de venir nager avec vous.
Du côté organisation, vous devez aussi intégrer la séance
d'entraînement dans votre horaire en fonction de l'ouverture de la
piscine et de la distance du lieu de travail.
17. Conseil du mois
Comment perdre 30 kg
Chronique Le Soleil dimanche 16 mai 2004 par Anne Desjardins
en collaboration avec la Chaire de recherche sur l'obésité
http://lesoleil.cyberpresse.ca/journal/dossiers/comment_perdre_30_kilos.php
Côté nutrition surveiller les étiquettes
Vicky Drapeau, nutritionniste à la Clinique Équilibre-Santé de
l’Université Laval (656-2131, poste 3851), nous incite à prendre
le temps de lire les étiquettes nutritionnelles des aliments que
nous achetons. D’ici l’année prochaine, les étiquettes
nutritionnelles seront obligatoires pour tous les produits transformés.
Un grand nombre d’aliments en sont déjà pourvus. Ces étiquettes
contiennent une foule d’informations importantes pour nous aider
à faire des choix diététiques éclairés et à mieux gérer notre
budget calorique et lipidique.
Les trois types d’informations qu’on y trouve :
1- La liste des ingrédients
2- Les informations nutritionnelles
3- Les allégations nutritionnelles
- La liste des ingrédients nous renseigne sur la composition d’un
aliment : plus la liste est longue, plus l’aliment est raffiné.
Cette liste est établie par ordre de quantité décroissante, de la
plus importante à la plus infime. Si le premier ingrédient de la
liste est « sucre raffiné », vous saurez à quoi vous en tenir.
Ce qu’il faut surveiller : l’aliment choisi devrait contenir peu
ou pas de gras saturés ou trans (shortening d’huile végétale,
huile végétale hydrogénée, huile de coco, huile de palme ou de
palmiste modifiée) ; l’aliment choisi devrait contenir peu de
sucre ajouté (fructose, dextrose, saccharose, cassonade, mélasse,
miel, etc.). D’après l’Association canadienne du diabète, il
ne faut pas dépasser 10 % du contenu d’un aliment en sucre.
Surveiller aussi les additifs alimentaires. La consigne : choisir
des aliments qui ont une liste d’ingrédients aussi courte que
possible, un indicateur qu’ils sont peu raffinés et donc plus
riches en nutriments.
- Les informations nutritionnelles. Treize variables vont nous
renseigner : l’apport calorique par portion, les glucides, protéines,
lipides, le pourcentage de gras saturés et trans, les fibres, le
cholestérol, le sodium, le contenu en vitamines et minéraux. Ce
qu’il faut surveiller : la grosseur d’une portion type. Il faut
se demander si l’on va se satisfaire de la portion recommandée.
Bien souvent, la réponse est non, la portion étant trop petite. Il
faut donc ajuster la quantité et le nombre de calories qui seront
consommées en conséquence. Selon la catégorie d’aliment, vérifier
aussi la teneur en gras, fibres, sucres. Ensuite, on s’intéressera
au pourcentage de nos besoins en vitamines et minéraux qui sont
satisfaits par cet aliment. La consigne : choisir un produit qui
contient le plus important pourcentage de vitamines et de minéraux.
- Les allégations nutritionnelles. Elles sont toutes vraies et régies
par des règles strictes. Un exemple : « peu de gras saturé ou
trans aide à réduire le risque de maladies cardiaques ». Ou cette
autre allégation : « une diète riche en fruits et légumes aide
à réduire le risque de certains cancers. » Ce qu’il faut
surveiller : « sans cholestérol » ne veut pas dire « sans gras
» ; « faible en gras » ne veut pas dire « faible en calories ».
La consigne: utiliser l’étiquette nutritionnelle pour se
familiariser avec tous les aspects d’un aliment. C’est un
excellent outil pour mieux s’alimenter.
Tous les articles
http://lesoleil.cyberpresse.ca//journal/journalistes/anne_desjardins.php
18. Sites et
documents internet suggérés
Appel à l'action: Créer un milieu scolaire favorable à la saine
nutrition
http://osnpph.on.ca/position.html
mars 2004
20.
Formation Continue
NAASO Annual Scientific Meeting
The North American Association for the Study of Obesity is
now accepting
abstracts for presentation at the NAASO Annual Scientific Meeting,
November 14 -18, Las Vegas, Nevada.
The online abstract submission site will be in operation until June
25,
2004 at 11:59 PM.
NAASO encourages submission of all abstracts dealing with
obesity-related
issues. Accepted abstracts will be published in the October
2004 Obesity Research
Annual Meeting Abstract Supplement.
To submit your abstract, visit: http://www.call4abstracts.com/naaso/
For more information on the NAASO Annual Scientific Meeting,
visit our
Website: http://www.naaso.org/
----------------------------------------------------
Pour en savoir davantage sur l'étiologie, la prévalence, les
complications, le traitement et la prévention de l'obésité,
veuillez consulter le site internet de la Chaire de recherche sur
l'obésité http://www.obesite.chaire.ulaval.ca
------------------------------------
Congrès à venir
-NAASO
Annual Meeting 2004 Las Vegas Nov 13-17
21.
http://www.sne.org/conference/index.html
Society
for Nutrition Education
37th Annual Conference
Sheraton City Centre
Salt Lake City, Utah
July 17-21, 2004
Inviting Everyone to the
Table
- Eliminating health disparities among minority
and underserved populations
- Increasing access to good food and nutritional
health for all
The Society for Nutrition Education invites everyone to our
table for the SNE 2004 Annual Conference. We invite food and
nutrition educators and students from all arenas to contribute to
and participate in the Conference. The program will examine
research, policies, and programs that seek to ensure that good food
and nutritional health are accessible for everyone, particularly
low-income people and those who are underserved or at highest risk.
We will highlight efforts to prevent chronic diseases, and to help
people living with chronic diseases, that are culturally sensitive
and responsive to the learning styles and life circumstances of the
learners. We want to spotlight work that addresses community
environments to improve access to healthy foods (and other factors
affecting health), and work for social and economic justice in the
food system.
CONFERENCE OVERVIEW
This year’s conference will begin on Friday, with a pre
conference workshop, A New Diabetes Toolkit. On Saturday we
will be bringing back an old favorite, the FNEE Workshop, in
addition to the workshop Health at Every Size: Antidote for the
“Obesity Epidemic.” Also returning this year will be the
widely praised, second annual Technology Night. Plan to stay
through the end of Wednesday to attend one of two post conference
workshops: Field to Plate and Federal and Local Nutrition
Programs for Older Adults: Creating Opportunities for Collaboration.
In addition to these special sessions, SNE 2004 will feature more
than 20 plenary and concurrent sessions providing the latest
nutrition education research and policy.
Opening Plenary - Engaging Schools and Communities in Urban
Food Access Solutions
The session will provide an opportunity to understand the
potential roles of schools and other communities in defining local
food access/nutrition issues and identifying and implementing
solutions.
Research Plenary – The Food Guide Pyramid: A Call to Action
The Food Guide Pyramid and Dietary Guidelines for
Americans
provide the cornerstone for our work as nutrition
educators and are under major revision -- to be released in 2005.
Gain an appreciation for the science and process behind the
revisions and the linkage between the 2005 Dietary Guidelines for
Americans (the policy) and the Food Guide Pyramid (the
educational tool). In order to effectively bring “everyone to the
table,” strategize with nutrition educators on the front lines on
how to apply the Food Guide Pyramid to your specific audience
and programmatic needs.
Bee Marks Communication Symposium – Creating Messages with
Design and Marketing in Mind
Make your message stick! In this session you will learn and
apply new skills to create an effective verbal message and transform
it into a memorable visual! The session will include step-by-step
illustrations, practical exercises and hands-on activities.
Public Policy Closing Plenary – Policy Options for Promoting
Healthy Environments to Address the Global Obesity Epidemic
Explore policy options for addressing the global obesity
epidemic from a variety of perspectives. Continue the discussion and
interact with the speakers over lunch.
Salt Lake City, Utah
Host of the 2004 SNE Annual Conference
Salt Lake combines the amenities of a major metropolitan area
with the friendliness of a small, western city. Salt Lake is nestled
in a valley at the foot of two mountain rangesthe Wasatch to the
east and the Oquirrhs to the west. During summer, hiking, rock
climbing, and mountain biking are just minutes away. Daily sunshine,
low humidity, and refreshing mountain breezes combine for a
comfortable year-round climate. The city is a thriving cultural
centerhome to one of the nation's finest regional symphony
orchestras, world-class opera, dance, and theater companies, an
illustrious choir, and myriad art galleries. Salt Lake is also the
gateway to ten national parks within a day's drive.
Please join other nutrition educators to make Inviting
Everyone to the Table an opportunity to share food while
building relationships and understanding.
For more information, contact the SNE Office at 317-328-4627 or
visit the SNE Website at www.sne.org.
Paul Boisvert,
Ph.D.
Responsable de l'information et des communications
Chaire de recherche sur l'obésité D.B. Brown
http://obesite.chaire.ulaval.ca/
Pav. Ferdinand-Vandry - local 2205
Faculté de Médecine
Université Laval
Québec, QC G1K 7P4
Tel.: (418) 656-2131 poste 8571
Fax :(418) 656-7898
http://obesite.chaire.ulaval.ca/cv/boisvertpaul.html
(Photo)
mailto:Paul.Boisvert@ap.ulaval.ca